Survivre à la globalisation. Les stratégies incertaines des petits Etats
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- Nombre de pages208
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.254 kg
- Dimensions13,5 cm × 21,5 cm × 1,0 cm
- ISBN978-2-343-14897-7
- EAN9782343148977
- Date de parution01/05/2018
- ÉditeurL'Harmattan
Résumé
Dans l'étude des Relations internationales, la définition de l'expression " petits Etats " ne fait pas l'objet d'un consensus car les Etats désignés par ce " qualificatif " ne forment clairement pas une catégorie homogène identifiable par un ensemble de variables communes. En effet, les Etats qualifiés de " petits " ont des caractéristiques économiques, politiques, sociétales ou géographiques bien différentes et rien n'accrédite à ce jour la thèse d'un rapport entre une variable, la taille, et le comportement au sein de l'arène internationale (le cas de l'Etat de la cité du Vatican en est l'exemple parfait).
Cependant, l'élément commun de ces acteurs internationaux, qualifiés, par certains, de " petites puissances ", provient d'une même caractéristique : une importance, toute relative, en rapport aux grandes puissances qui continuent de jouir, de facto, d'un monopole normatif et militaire leur permettant une domination financière, diplomatique, idéelle et militaire au sein du système international. Aussi, convient-il de s'interroger sur les marges de manoeuvre restantes et les stratégies mises en place par ces " petits Etats ", aux niveaux régional et global, afin de s'octroyer une place plus " acceptable " au sein du système international.
Pour ce faire, certains de ces " petits Etats " emploieront le balancing, l'équilibrage, d'autres useront du bandwagoning ou suivisme, d'autres encore opteront pour un engagement multidirectionnel alors que d'autres appliqueront leur propre stratégie. Cet ouvrage collectif ambitionne ainsi de porter un regard critique sur les stratégies initiées par certains " petits Etats " (Guinée Equatoriale ; Israël en 1958 ; Suisse ; Lituanie ; Monarchies du Golfe ; Liban (Hezbollah acteur non étatique)) dans le seul but d'améliorer leur positionnement au sein d'un monde désormais globalisé.
Cependant, l'élément commun de ces acteurs internationaux, qualifiés, par certains, de " petites puissances ", provient d'une même caractéristique : une importance, toute relative, en rapport aux grandes puissances qui continuent de jouir, de facto, d'un monopole normatif et militaire leur permettant une domination financière, diplomatique, idéelle et militaire au sein du système international. Aussi, convient-il de s'interroger sur les marges de manoeuvre restantes et les stratégies mises en place par ces " petits Etats ", aux niveaux régional et global, afin de s'octroyer une place plus " acceptable " au sein du système international.
Pour ce faire, certains de ces " petits Etats " emploieront le balancing, l'équilibrage, d'autres useront du bandwagoning ou suivisme, d'autres encore opteront pour un engagement multidirectionnel alors que d'autres appliqueront leur propre stratégie. Cet ouvrage collectif ambitionne ainsi de porter un regard critique sur les stratégies initiées par certains " petits Etats " (Guinée Equatoriale ; Israël en 1958 ; Suisse ; Lituanie ; Monarchies du Golfe ; Liban (Hezbollah acteur non étatique)) dans le seul but d'améliorer leur positionnement au sein d'un monde désormais globalisé.
Dans l'étude des Relations internationales, la définition de l'expression " petits Etats " ne fait pas l'objet d'un consensus car les Etats désignés par ce " qualificatif " ne forment clairement pas une catégorie homogène identifiable par un ensemble de variables communes. En effet, les Etats qualifiés de " petits " ont des caractéristiques économiques, politiques, sociétales ou géographiques bien différentes et rien n'accrédite à ce jour la thèse d'un rapport entre une variable, la taille, et le comportement au sein de l'arène internationale (le cas de l'Etat de la cité du Vatican en est l'exemple parfait).
Cependant, l'élément commun de ces acteurs internationaux, qualifiés, par certains, de " petites puissances ", provient d'une même caractéristique : une importance, toute relative, en rapport aux grandes puissances qui continuent de jouir, de facto, d'un monopole normatif et militaire leur permettant une domination financière, diplomatique, idéelle et militaire au sein du système international. Aussi, convient-il de s'interroger sur les marges de manoeuvre restantes et les stratégies mises en place par ces " petits Etats ", aux niveaux régional et global, afin de s'octroyer une place plus " acceptable " au sein du système international.
Pour ce faire, certains de ces " petits Etats " emploieront le balancing, l'équilibrage, d'autres useront du bandwagoning ou suivisme, d'autres encore opteront pour un engagement multidirectionnel alors que d'autres appliqueront leur propre stratégie. Cet ouvrage collectif ambitionne ainsi de porter un regard critique sur les stratégies initiées par certains " petits Etats " (Guinée Equatoriale ; Israël en 1958 ; Suisse ; Lituanie ; Monarchies du Golfe ; Liban (Hezbollah acteur non étatique)) dans le seul but d'améliorer leur positionnement au sein d'un monde désormais globalisé.
Cependant, l'élément commun de ces acteurs internationaux, qualifiés, par certains, de " petites puissances ", provient d'une même caractéristique : une importance, toute relative, en rapport aux grandes puissances qui continuent de jouir, de facto, d'un monopole normatif et militaire leur permettant une domination financière, diplomatique, idéelle et militaire au sein du système international. Aussi, convient-il de s'interroger sur les marges de manoeuvre restantes et les stratégies mises en place par ces " petits Etats ", aux niveaux régional et global, afin de s'octroyer une place plus " acceptable " au sein du système international.
Pour ce faire, certains de ces " petits Etats " emploieront le balancing, l'équilibrage, d'autres useront du bandwagoning ou suivisme, d'autres encore opteront pour un engagement multidirectionnel alors que d'autres appliqueront leur propre stratégie. Cet ouvrage collectif ambitionne ainsi de porter un regard critique sur les stratégies initiées par certains " petits Etats " (Guinée Equatoriale ; Israël en 1958 ; Suisse ; Lituanie ; Monarchies du Golfe ; Liban (Hezbollah acteur non étatique)) dans le seul but d'améliorer leur positionnement au sein d'un monde désormais globalisé.