Prix Ahmadou-Kourouma
SurVivantes. Rwanda, histoire d'un génocide suivi de Entretien croisé entre Simone Veil et Esther Mujawayo
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- Nombre de pages371
- PrésentationBroché
- FormatPoche
- Poids0.334 kg
- Dimensions12,6 cm × 19,1 cm × 2,7 cm
- ISBN978-2-8159-3395-7
- EAN9782815933957
- Date de parution04/04/2019
- CollectionMikros essai
- ÉditeurAube (Editions de l')
Résumé
"On croyait avoir tout lu sur le génocide rwandais ; on avait oublié l'essentiel : écouter les rescapés." Bernard Ahua, Le Monde diplomatique. "L'ouvrage exprime à la fois la combativité de la vivante et le désespoir de la survivante. Il parle de la destruction qui vient après le génocide — la destruction psychique, l'horizon de la déshérence, la folie de survivre. Esther Mujawayo ne fait pas de "littérature", mais elle réunit un témoignage et une méditation, comme l'a fait Primo Levi." Catherine Coquio, Le Monde.
"Un récit que l'on écoute d'un trait, parce qu'on ne peut plus quitter Esther, la narratrice. Est-ce dû à son ton ? Au tutoiement qu'elle utilise ? Aux confidences qu'elle livre ? A sa totale sincérité, qui se fiche du politiquement correct et la montre tour à tour désespérée, combative, révoltée, tourmentée, accusatrice, drôle, pleine de failles." Anouk Saint-Péran, Côté femme.
"Un récit que l'on écoute d'un trait, parce qu'on ne peut plus quitter Esther, la narratrice. Est-ce dû à son ton ? Au tutoiement qu'elle utilise ? Aux confidences qu'elle livre ? A sa totale sincérité, qui se fiche du politiquement correct et la montre tour à tour désespérée, combative, révoltée, tourmentée, accusatrice, drôle, pleine de failles." Anouk Saint-Péran, Côté femme.
"On croyait avoir tout lu sur le génocide rwandais ; on avait oublié l'essentiel : écouter les rescapés." Bernard Ahua, Le Monde diplomatique. "L'ouvrage exprime à la fois la combativité de la vivante et le désespoir de la survivante. Il parle de la destruction qui vient après le génocide — la destruction psychique, l'horizon de la déshérence, la folie de survivre. Esther Mujawayo ne fait pas de "littérature", mais elle réunit un témoignage et une méditation, comme l'a fait Primo Levi." Catherine Coquio, Le Monde.
"Un récit que l'on écoute d'un trait, parce qu'on ne peut plus quitter Esther, la narratrice. Est-ce dû à son ton ? Au tutoiement qu'elle utilise ? Aux confidences qu'elle livre ? A sa totale sincérité, qui se fiche du politiquement correct et la montre tour à tour désespérée, combative, révoltée, tourmentée, accusatrice, drôle, pleine de failles." Anouk Saint-Péran, Côté femme.
"Un récit que l'on écoute d'un trait, parce qu'on ne peut plus quitter Esther, la narratrice. Est-ce dû à son ton ? Au tutoiement qu'elle utilise ? Aux confidences qu'elle livre ? A sa totale sincérité, qui se fiche du politiquement correct et la montre tour à tour désespérée, combative, révoltée, tourmentée, accusatrice, drôle, pleine de failles." Anouk Saint-Péran, Côté femme.