Sur tes ruines j'irai dansant. (Samson Derrabe-Farigoule défie la ville)
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- Nombre de pages124
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.175 kg
- Dimensions13,0 cm × 20,5 cm × 1,1 cm
- ISBN978-2-916819-05-1
- EAN9782916819051
- Date de parution01/10/2010
- CollectionOverlittérature
- ÉditeurFioupélan (Les éditions du)
Résumé
Marseille n'aime pas seulement imiter ses cartes postales, elle aime aussi dévorer ses propres enfants. Pour y être un peu plus qu'une sardine, mieux vaut s'en exiler. Un seul refuse de se plier à cette malédiction millénaire : Samson Derrabe-Farigoule. Sa grande gueule défie la Grosse Ville en une imprécation flamboyante, vibrante de griefs accumulés. Sous le flot de son verbe vengeur, les murailles de la Ville-Mère se fissurent et croulent pour faire apparaître la très puante réalité.
Ravi par l'expression "rôtir le balai" trouvée chez Saint-Simon, Stendhal remarque : "La langue dégénère et perd son caractère parce que les vanités et les convenances (qui ont déjà tué la gaieté) empêchent d'employer ces mots". Et Werner Schwab confirme : "La langue vivante a été détruite par la politique, la bureaucratie et la publicité. Le langage est à présent dressé comme un berger allemand".
Loin de la littérature encagée et des romans policés qui encombrent les librairies, Gilles Ascaride fait un malheur en déchaînant ses grandes orgues marseillaises.
Ravi par l'expression "rôtir le balai" trouvée chez Saint-Simon, Stendhal remarque : "La langue dégénère et perd son caractère parce que les vanités et les convenances (qui ont déjà tué la gaieté) empêchent d'employer ces mots". Et Werner Schwab confirme : "La langue vivante a été détruite par la politique, la bureaucratie et la publicité. Le langage est à présent dressé comme un berger allemand".
Loin de la littérature encagée et des romans policés qui encombrent les librairies, Gilles Ascaride fait un malheur en déchaînant ses grandes orgues marseillaises.
Marseille n'aime pas seulement imiter ses cartes postales, elle aime aussi dévorer ses propres enfants. Pour y être un peu plus qu'une sardine, mieux vaut s'en exiler. Un seul refuse de se plier à cette malédiction millénaire : Samson Derrabe-Farigoule. Sa grande gueule défie la Grosse Ville en une imprécation flamboyante, vibrante de griefs accumulés. Sous le flot de son verbe vengeur, les murailles de la Ville-Mère se fissurent et croulent pour faire apparaître la très puante réalité.
Ravi par l'expression "rôtir le balai" trouvée chez Saint-Simon, Stendhal remarque : "La langue dégénère et perd son caractère parce que les vanités et les convenances (qui ont déjà tué la gaieté) empêchent d'employer ces mots". Et Werner Schwab confirme : "La langue vivante a été détruite par la politique, la bureaucratie et la publicité. Le langage est à présent dressé comme un berger allemand".
Loin de la littérature encagée et des romans policés qui encombrent les librairies, Gilles Ascaride fait un malheur en déchaînant ses grandes orgues marseillaises.
Ravi par l'expression "rôtir le balai" trouvée chez Saint-Simon, Stendhal remarque : "La langue dégénère et perd son caractère parce que les vanités et les convenances (qui ont déjà tué la gaieté) empêchent d'employer ces mots". Et Werner Schwab confirme : "La langue vivante a été détruite par la politique, la bureaucratie et la publicité. Le langage est à présent dressé comme un berger allemand".
Loin de la littérature encagée et des romans policés qui encombrent les librairies, Gilles Ascaride fait un malheur en déchaînant ses grandes orgues marseillaises.