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Sur sept gravures de Dürer
1e édition
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- Nombre de pages120
- PrésentationBroché
- Poids0.001 kg
- Dimensions21,0 cm × 28,0 cm × 0,1 cm
- ISBN978-2-85035-206-5
- EAN9782850352065
- Date de parution07/11/2025
- ÉditeurATELIER CONT
Résumé
Les gravures d'Albrecht Dürer (1471-1528) font sans aucun doute partie des oeuvres les plus célèbres, les plus influentes et les plus commentées de l'histoire de l'art - on se souviendra par exemple de l'important essai de Panofsky consacré l'artiste germanique. Cette diffusion a produit de multiples exégèses (parfois contradictoires), qui posent nécessairement la question de la façon d'aborder une telle oeuvre aujourd'hui, dans laquelle la virtuosité va de pair avec une complexité, voire une ambiguïté, qui désarçonne les nombreuses tentatives d'interprétation iconologiques.
L'ouvrage de Patrick Genevaz est une forme de réponse évidente ? : pour approcher le travail de Dürer, il faut le regarder attentivement. "? Ce dédale des interprétations nous amène à revenir sur les images elles-mêmes, tout comme on revient sur un poème que l'on croit retenir, ou une partition à relire avant de jouer. ? " Loin de toute tentative d'extrapolation des symboles, l'ouvrage constitue en premier lieu une méthode rigoureuse d'analyse descriptive.
Sept gravures y sont méticuleusement détaillées, laissant le regard se porter sur leurs différentes parties, pour en apprécier, d'abord, la richesse objective de la constitution. Ce qui fait sens alors est la trajectoire de ce regard qui suit les lignes de force de la composition et en mesure l'impact avec une grande finesse, traduite enfin par l'écriture. Une sorte de translation s'opère depuis l'image infiniment riche jusqu'à la description minutieuse qui en assume l'explication, au sens étymologique où l'on en déplie, fragment après fragment, les différentes zones, pour aboutir non pas à une juxtaposition superficielle mais, au contraire, à un sens plus profond, que la lecture restitue dans toute sa force.
Chaque constituant devient ainsi l'objet d'un itinéraire du regard qui rejoint la qualité de ce qu'il voit - nuances de lumière, précision du trait, organisation des éléments - pour en souligner les jeux de contraste, les ambivalences, les choix, insérant chaque oeuvre dans un réseau extrêmement sophistiqué que l'oeil, avec la plume, désenchevêtre, pour révéler en fin de compte un monde essentiellement enchanté.
L'ouvrage de Patrick Genevaz se démarque par sa méthode ? : une approche originale et objective du travail d'Albrecht Dürer, aux ressources inattendues, qui déjoue les tentatives interprétatives dans lesquelles s'est engouffrée toute une tradition de la critique d'art. Le résultat n'en est que plus étonnant et permet, au-delà des difficultés réelles qu'imposent les images de l'illustre graveur, de retrouver une acuité nouvelle, débarrassée de tout bavardage, au plus près des faits (techniques, esthétiques, iconographique) et de la beauté particulière dégagée par cette lecture "? dépouillée ? " de l'oeuvre - démarche d'autant plus efficace qu'elle répond, en les assimilant et les soulignant, aux libertés prises par l'artiste vis-à-vis des référents qu'il illustre.
Ce sont donc sept estampes sur cuivre qui sont soumis à cette approche descriptive, dans laquelle un monde d'animaux familiers et attentifs, d'arbres bruissant, de monstres et de déesses, de chevaliers et d'érudits, se déploient dans une atmosphère enchantée et mystérieuse, manifestant un ordre qui s'impose à nous, et que les textes de Patrick Genevaz restituent dans sa vérité. Nous découvrons ainsi - et redécouvrons à la lumière de ce regard scrupuleux - des travaux célèbres ? : Adam et Eve, Le Monstre marin, Saint Eustache, Némésis (La Grande Fortune), Le Chevalier, le Diable et la Mort, Saint Jérôme dans sa cellule et bien entendu, Mélancolie (Melencolia I).
Chaque étude est précédée d'un court descriptif iconographique et historiographique. Une reproduction de grande qualité accompagnera également chaque chapitre, qui seront ponctués, en cours de texte, de multiples vues de détails permettant de suivre, dans un dispositif original, le chemin emprunté par ce regard méticuleux auquel l'auteur nous convie avec profit.
L'ouvrage de Patrick Genevaz est une forme de réponse évidente ? : pour approcher le travail de Dürer, il faut le regarder attentivement. "? Ce dédale des interprétations nous amène à revenir sur les images elles-mêmes, tout comme on revient sur un poème que l'on croit retenir, ou une partition à relire avant de jouer. ? " Loin de toute tentative d'extrapolation des symboles, l'ouvrage constitue en premier lieu une méthode rigoureuse d'analyse descriptive.
Sept gravures y sont méticuleusement détaillées, laissant le regard se porter sur leurs différentes parties, pour en apprécier, d'abord, la richesse objective de la constitution. Ce qui fait sens alors est la trajectoire de ce regard qui suit les lignes de force de la composition et en mesure l'impact avec une grande finesse, traduite enfin par l'écriture. Une sorte de translation s'opère depuis l'image infiniment riche jusqu'à la description minutieuse qui en assume l'explication, au sens étymologique où l'on en déplie, fragment après fragment, les différentes zones, pour aboutir non pas à une juxtaposition superficielle mais, au contraire, à un sens plus profond, que la lecture restitue dans toute sa force.
Chaque constituant devient ainsi l'objet d'un itinéraire du regard qui rejoint la qualité de ce qu'il voit - nuances de lumière, précision du trait, organisation des éléments - pour en souligner les jeux de contraste, les ambivalences, les choix, insérant chaque oeuvre dans un réseau extrêmement sophistiqué que l'oeil, avec la plume, désenchevêtre, pour révéler en fin de compte un monde essentiellement enchanté.
L'ouvrage de Patrick Genevaz se démarque par sa méthode ? : une approche originale et objective du travail d'Albrecht Dürer, aux ressources inattendues, qui déjoue les tentatives interprétatives dans lesquelles s'est engouffrée toute une tradition de la critique d'art. Le résultat n'en est que plus étonnant et permet, au-delà des difficultés réelles qu'imposent les images de l'illustre graveur, de retrouver une acuité nouvelle, débarrassée de tout bavardage, au plus près des faits (techniques, esthétiques, iconographique) et de la beauté particulière dégagée par cette lecture "? dépouillée ? " de l'oeuvre - démarche d'autant plus efficace qu'elle répond, en les assimilant et les soulignant, aux libertés prises par l'artiste vis-à-vis des référents qu'il illustre.
Ce sont donc sept estampes sur cuivre qui sont soumis à cette approche descriptive, dans laquelle un monde d'animaux familiers et attentifs, d'arbres bruissant, de monstres et de déesses, de chevaliers et d'érudits, se déploient dans une atmosphère enchantée et mystérieuse, manifestant un ordre qui s'impose à nous, et que les textes de Patrick Genevaz restituent dans sa vérité. Nous découvrons ainsi - et redécouvrons à la lumière de ce regard scrupuleux - des travaux célèbres ? : Adam et Eve, Le Monstre marin, Saint Eustache, Némésis (La Grande Fortune), Le Chevalier, le Diable et la Mort, Saint Jérôme dans sa cellule et bien entendu, Mélancolie (Melencolia I).
Chaque étude est précédée d'un court descriptif iconographique et historiographique. Une reproduction de grande qualité accompagnera également chaque chapitre, qui seront ponctués, en cours de texte, de multiples vues de détails permettant de suivre, dans un dispositif original, le chemin emprunté par ce regard méticuleux auquel l'auteur nous convie avec profit.
Les gravures d'Albrecht Dürer (1471-1528) font sans aucun doute partie des oeuvres les plus célèbres, les plus influentes et les plus commentées de l'histoire de l'art - on se souviendra par exemple de l'important essai de Panofsky consacré l'artiste germanique. Cette diffusion a produit de multiples exégèses (parfois contradictoires), qui posent nécessairement la question de la façon d'aborder une telle oeuvre aujourd'hui, dans laquelle la virtuosité va de pair avec une complexité, voire une ambiguïté, qui désarçonne les nombreuses tentatives d'interprétation iconologiques.
L'ouvrage de Patrick Genevaz est une forme de réponse évidente ? : pour approcher le travail de Dürer, il faut le regarder attentivement. "? Ce dédale des interprétations nous amène à revenir sur les images elles-mêmes, tout comme on revient sur un poème que l'on croit retenir, ou une partition à relire avant de jouer. ? " Loin de toute tentative d'extrapolation des symboles, l'ouvrage constitue en premier lieu une méthode rigoureuse d'analyse descriptive.
Sept gravures y sont méticuleusement détaillées, laissant le regard se porter sur leurs différentes parties, pour en apprécier, d'abord, la richesse objective de la constitution. Ce qui fait sens alors est la trajectoire de ce regard qui suit les lignes de force de la composition et en mesure l'impact avec une grande finesse, traduite enfin par l'écriture. Une sorte de translation s'opère depuis l'image infiniment riche jusqu'à la description minutieuse qui en assume l'explication, au sens étymologique où l'on en déplie, fragment après fragment, les différentes zones, pour aboutir non pas à une juxtaposition superficielle mais, au contraire, à un sens plus profond, que la lecture restitue dans toute sa force.
Chaque constituant devient ainsi l'objet d'un itinéraire du regard qui rejoint la qualité de ce qu'il voit - nuances de lumière, précision du trait, organisation des éléments - pour en souligner les jeux de contraste, les ambivalences, les choix, insérant chaque oeuvre dans un réseau extrêmement sophistiqué que l'oeil, avec la plume, désenchevêtre, pour révéler en fin de compte un monde essentiellement enchanté.
L'ouvrage de Patrick Genevaz se démarque par sa méthode ? : une approche originale et objective du travail d'Albrecht Dürer, aux ressources inattendues, qui déjoue les tentatives interprétatives dans lesquelles s'est engouffrée toute une tradition de la critique d'art. Le résultat n'en est que plus étonnant et permet, au-delà des difficultés réelles qu'imposent les images de l'illustre graveur, de retrouver une acuité nouvelle, débarrassée de tout bavardage, au plus près des faits (techniques, esthétiques, iconographique) et de la beauté particulière dégagée par cette lecture "? dépouillée ? " de l'oeuvre - démarche d'autant plus efficace qu'elle répond, en les assimilant et les soulignant, aux libertés prises par l'artiste vis-à-vis des référents qu'il illustre.
Ce sont donc sept estampes sur cuivre qui sont soumis à cette approche descriptive, dans laquelle un monde d'animaux familiers et attentifs, d'arbres bruissant, de monstres et de déesses, de chevaliers et d'érudits, se déploient dans une atmosphère enchantée et mystérieuse, manifestant un ordre qui s'impose à nous, et que les textes de Patrick Genevaz restituent dans sa vérité. Nous découvrons ainsi - et redécouvrons à la lumière de ce regard scrupuleux - des travaux célèbres ? : Adam et Eve, Le Monstre marin, Saint Eustache, Némésis (La Grande Fortune), Le Chevalier, le Diable et la Mort, Saint Jérôme dans sa cellule et bien entendu, Mélancolie (Melencolia I).
Chaque étude est précédée d'un court descriptif iconographique et historiographique. Une reproduction de grande qualité accompagnera également chaque chapitre, qui seront ponctués, en cours de texte, de multiples vues de détails permettant de suivre, dans un dispositif original, le chemin emprunté par ce regard méticuleux auquel l'auteur nous convie avec profit.
L'ouvrage de Patrick Genevaz est une forme de réponse évidente ? : pour approcher le travail de Dürer, il faut le regarder attentivement. "? Ce dédale des interprétations nous amène à revenir sur les images elles-mêmes, tout comme on revient sur un poème que l'on croit retenir, ou une partition à relire avant de jouer. ? " Loin de toute tentative d'extrapolation des symboles, l'ouvrage constitue en premier lieu une méthode rigoureuse d'analyse descriptive.
Sept gravures y sont méticuleusement détaillées, laissant le regard se porter sur leurs différentes parties, pour en apprécier, d'abord, la richesse objective de la constitution. Ce qui fait sens alors est la trajectoire de ce regard qui suit les lignes de force de la composition et en mesure l'impact avec une grande finesse, traduite enfin par l'écriture. Une sorte de translation s'opère depuis l'image infiniment riche jusqu'à la description minutieuse qui en assume l'explication, au sens étymologique où l'on en déplie, fragment après fragment, les différentes zones, pour aboutir non pas à une juxtaposition superficielle mais, au contraire, à un sens plus profond, que la lecture restitue dans toute sa force.
Chaque constituant devient ainsi l'objet d'un itinéraire du regard qui rejoint la qualité de ce qu'il voit - nuances de lumière, précision du trait, organisation des éléments - pour en souligner les jeux de contraste, les ambivalences, les choix, insérant chaque oeuvre dans un réseau extrêmement sophistiqué que l'oeil, avec la plume, désenchevêtre, pour révéler en fin de compte un monde essentiellement enchanté.
L'ouvrage de Patrick Genevaz se démarque par sa méthode ? : une approche originale et objective du travail d'Albrecht Dürer, aux ressources inattendues, qui déjoue les tentatives interprétatives dans lesquelles s'est engouffrée toute une tradition de la critique d'art. Le résultat n'en est que plus étonnant et permet, au-delà des difficultés réelles qu'imposent les images de l'illustre graveur, de retrouver une acuité nouvelle, débarrassée de tout bavardage, au plus près des faits (techniques, esthétiques, iconographique) et de la beauté particulière dégagée par cette lecture "? dépouillée ? " de l'oeuvre - démarche d'autant plus efficace qu'elle répond, en les assimilant et les soulignant, aux libertés prises par l'artiste vis-à-vis des référents qu'il illustre.
Ce sont donc sept estampes sur cuivre qui sont soumis à cette approche descriptive, dans laquelle un monde d'animaux familiers et attentifs, d'arbres bruissant, de monstres et de déesses, de chevaliers et d'érudits, se déploient dans une atmosphère enchantée et mystérieuse, manifestant un ordre qui s'impose à nous, et que les textes de Patrick Genevaz restituent dans sa vérité. Nous découvrons ainsi - et redécouvrons à la lumière de ce regard scrupuleux - des travaux célèbres ? : Adam et Eve, Le Monstre marin, Saint Eustache, Némésis (La Grande Fortune), Le Chevalier, le Diable et la Mort, Saint Jérôme dans sa cellule et bien entendu, Mélancolie (Melencolia I).
Chaque étude est précédée d'un court descriptif iconographique et historiographique. Une reproduction de grande qualité accompagnera également chaque chapitre, qui seront ponctués, en cours de texte, de multiples vues de détails permettant de suivre, dans un dispositif original, le chemin emprunté par ce regard méticuleux auquel l'auteur nous convie avec profit.