Sur les routes d'Europe avec Napoléon : histoires de grognards
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- Nombre de pages422
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.94 kg
- Dimensions15,5 cm × 24,0 cm × 2,0 cm
- ISBN978-2-491575-04-5
- EAN9782491575045
- Date de parution21/05/2021
- ÉditeurCVRH
Résumé
Fiers de servir l'Empereur ou désabusés parle rêve évanoui, fraudeurs incorrigibles ou déserteurs involontaires, épargnés parles combats mais frappés parles coups du sort, perdus sur les champs de bataille et de retour des années après... Il y plus de deux siècles, des milliers de jeunes Français partaient sur les routes d'Europe pour, à la suite de Napoléon, porter aux peuples conquis les idéaux impériaux.
Beaucoup ne revinrent pas... Simples cultivateurs ou artisans pour la plupart, ces conscrits de l'Empire nous ont légué des lettres, souvent les seuls souvenirs conservés d'eux parleurs familles. Une correspondance qui nous en dit long sur leurs motivations et leur vie quotidienne faite de longues marches et de privations dans des pays souvent hostiles. Certains ont tenté d'y échapper. Ceux qui en sont revenus ont repris une vie aussi normale que possible mais ont aussi bien souvent attendu une reconnaissance hypothétique.
Les lettres et autres documents concernant ces grognards des Deux-Sèvres, du Sud et de l'Est de la Vendée nous permettent de toucher du doigt ces soldats dont aucun portrait n'est resté mais qui, à leur lecture, nous paraissent pourtant si familiers.
Beaucoup ne revinrent pas... Simples cultivateurs ou artisans pour la plupart, ces conscrits de l'Empire nous ont légué des lettres, souvent les seuls souvenirs conservés d'eux parleurs familles. Une correspondance qui nous en dit long sur leurs motivations et leur vie quotidienne faite de longues marches et de privations dans des pays souvent hostiles. Certains ont tenté d'y échapper. Ceux qui en sont revenus ont repris une vie aussi normale que possible mais ont aussi bien souvent attendu une reconnaissance hypothétique.
Les lettres et autres documents concernant ces grognards des Deux-Sèvres, du Sud et de l'Est de la Vendée nous permettent de toucher du doigt ces soldats dont aucun portrait n'est resté mais qui, à leur lecture, nous paraissent pourtant si familiers.
Fiers de servir l'Empereur ou désabusés parle rêve évanoui, fraudeurs incorrigibles ou déserteurs involontaires, épargnés parles combats mais frappés parles coups du sort, perdus sur les champs de bataille et de retour des années après... Il y plus de deux siècles, des milliers de jeunes Français partaient sur les routes d'Europe pour, à la suite de Napoléon, porter aux peuples conquis les idéaux impériaux.
Beaucoup ne revinrent pas... Simples cultivateurs ou artisans pour la plupart, ces conscrits de l'Empire nous ont légué des lettres, souvent les seuls souvenirs conservés d'eux parleurs familles. Une correspondance qui nous en dit long sur leurs motivations et leur vie quotidienne faite de longues marches et de privations dans des pays souvent hostiles. Certains ont tenté d'y échapper. Ceux qui en sont revenus ont repris une vie aussi normale que possible mais ont aussi bien souvent attendu une reconnaissance hypothétique.
Les lettres et autres documents concernant ces grognards des Deux-Sèvres, du Sud et de l'Est de la Vendée nous permettent de toucher du doigt ces soldats dont aucun portrait n'est resté mais qui, à leur lecture, nous paraissent pourtant si familiers.
Beaucoup ne revinrent pas... Simples cultivateurs ou artisans pour la plupart, ces conscrits de l'Empire nous ont légué des lettres, souvent les seuls souvenirs conservés d'eux parleurs familles. Une correspondance qui nous en dit long sur leurs motivations et leur vie quotidienne faite de longues marches et de privations dans des pays souvent hostiles. Certains ont tenté d'y échapper. Ceux qui en sont revenus ont repris une vie aussi normale que possible mais ont aussi bien souvent attendu une reconnaissance hypothétique.
Les lettres et autres documents concernant ces grognards des Deux-Sèvres, du Sud et de l'Est de la Vendée nous permettent de toucher du doigt ces soldats dont aucun portrait n'est resté mais qui, à leur lecture, nous paraissent pourtant si familiers.