Sur la mort de Valentinien II

Par : Ambroise de Milan
    • Nombre de pages216
    • PrésentationBroché
    • FormatGrand Format
    • Poids0.23 kg
    • Dimensions12,6 cm × 19,6 cm × 1,4 cm
    • ISBN978-2-204-14750-7
    • EAN9782204147507
    • Date de parution20/10/2022
    • CollectionSources Chrétiennes
    • ÉditeurCerf
    • TraducteurGuy Sabbah
    • TraducteurJean-François Berthet
    • AnnotateurLaurent Angliviel de La Beaumelle

    Résumé

    L'oraison funèbre de l'empereur Valentinien II (375-392) a été prononcée par Ambroise, évêque de Milan, en juillet/août 392, plus de deux mois après la mort du prince (15 mai 392) à Vienne, d'où il se disposait à passer en Italie. L'oraison funèbre de l'empereur Valentinien II (375-392) a été prononcée par Ambroise, évêque de Milan, en juillet/août 392, plus de deux mois après la mort du prince (15 mai 392) à Vienne, d'où il se disposait à passer en Italie.
    Des raisons politiques, mais surtout des relations personnelles, de respect filial chez l'un, d'affection paternelle chez l'autre, unissaient le jeune empereur, mort à 21 ans, et l'évêque de Milan. La mort brutale et inattendue de Valentinien avait soulevé des interrogations sur sa mort, assassinat ou suicide. La question n'était pas tranchée quand l'évêque prit la parole : il se refusa, par prudence politique ou manque de certitude, à y répondre, tout en s'efforçant de répliquer à ceux qui l'incriminaient pour cette mort.
    Le débat - suicide ou assassinat - n'a donc pas cessé d'intriguer les historiens, partagés entre des réponses également hypothétiques.
    L'oraison funèbre de l'empereur Valentinien II (375-392) a été prononcée par Ambroise, évêque de Milan, en juillet/août 392, plus de deux mois après la mort du prince (15 mai 392) à Vienne, d'où il se disposait à passer en Italie. L'oraison funèbre de l'empereur Valentinien II (375-392) a été prononcée par Ambroise, évêque de Milan, en juillet/août 392, plus de deux mois après la mort du prince (15 mai 392) à Vienne, d'où il se disposait à passer en Italie.
    Des raisons politiques, mais surtout des relations personnelles, de respect filial chez l'un, d'affection paternelle chez l'autre, unissaient le jeune empereur, mort à 21 ans, et l'évêque de Milan. La mort brutale et inattendue de Valentinien avait soulevé des interrogations sur sa mort, assassinat ou suicide. La question n'était pas tranchée quand l'évêque prit la parole : il se refusa, par prudence politique ou manque de certitude, à y répondre, tout en s'efforçant de répliquer à ceux qui l'incriminaient pour cette mort.
    Le débat - suicide ou assassinat - n'a donc pas cessé d'intriguer les historiens, partagés entre des réponses également hypothétiques.
    Abraham
    Ambroise de Milan
    15,00 €