Undertaker. L'art de Ralph Meyer
Beau Livre
49,00 €
Superpositions. Collection particulière d’un cinéma porno bruxellois
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- Nombre de pages112
- PrésentationRelié
- FormatGrand Format
- Poids0.9 kg
- Dimensions28,9 cm × 22,9 cm × 1,8 cm
- ISBN978-2-87449-904-3
- EAN9782874499043
- Date de parution02/09/2021
- CollectionTraverses
- ÉditeurCoédition Impressions nouvelles/Cinéma Nova
Résumé
On dit parfois que c'est la censure qui fait la pornographie. L'exploitant du cinéma ABC, salle porno en activité entre 1972 et 2013 sur un boulevard du centre de Bruxelles, devait bien s'en amuser. Comme devant tous les cinémas du monde, on pouvait découvrir dans les vitrines de l'ABC des photos d'exploitation donnant un avant-goût des films à l'affiche. Mais la publicité qui s'offrait ici au regard des passants portait des marques bien particulières : un outrage aux bonnes moeurs est vite arrivé...
Dans un jeu de provocation, de dérision et de test des limites de l'acceptabilité, l'exploitant censurait ses images publicitaires avec toute une série d'accessoires de papeterie, sans se priver de choisir comme canevas les clichés les plus explicites. Les touches de censure, pour le moins artisanales et souvent d'une grotesque lourdeur, apportent une qualité esthétique et une dimension inattendue, dissimulant et soulignant à la fois.
Ce catalogue de photos d'exploitation censurées montre comment la censure peut devenir un objet de provocation et refléter les limites morales d'une époque.
Dans un jeu de provocation, de dérision et de test des limites de l'acceptabilité, l'exploitant censurait ses images publicitaires avec toute une série d'accessoires de papeterie, sans se priver de choisir comme canevas les clichés les plus explicites. Les touches de censure, pour le moins artisanales et souvent d'une grotesque lourdeur, apportent une qualité esthétique et une dimension inattendue, dissimulant et soulignant à la fois.
Ce catalogue de photos d'exploitation censurées montre comment la censure peut devenir un objet de provocation et refléter les limites morales d'une époque.
On dit parfois que c'est la censure qui fait la pornographie. L'exploitant du cinéma ABC, salle porno en activité entre 1972 et 2013 sur un boulevard du centre de Bruxelles, devait bien s'en amuser. Comme devant tous les cinémas du monde, on pouvait découvrir dans les vitrines de l'ABC des photos d'exploitation donnant un avant-goût des films à l'affiche. Mais la publicité qui s'offrait ici au regard des passants portait des marques bien particulières : un outrage aux bonnes moeurs est vite arrivé...
Dans un jeu de provocation, de dérision et de test des limites de l'acceptabilité, l'exploitant censurait ses images publicitaires avec toute une série d'accessoires de papeterie, sans se priver de choisir comme canevas les clichés les plus explicites. Les touches de censure, pour le moins artisanales et souvent d'une grotesque lourdeur, apportent une qualité esthétique et une dimension inattendue, dissimulant et soulignant à la fois.
Ce catalogue de photos d'exploitation censurées montre comment la censure peut devenir un objet de provocation et refléter les limites morales d'une époque.
Dans un jeu de provocation, de dérision et de test des limites de l'acceptabilité, l'exploitant censurait ses images publicitaires avec toute une série d'accessoires de papeterie, sans se priver de choisir comme canevas les clichés les plus explicites. Les touches de censure, pour le moins artisanales et souvent d'une grotesque lourdeur, apportent une qualité esthétique et une dimension inattendue, dissimulant et soulignant à la fois.
Ce catalogue de photos d'exploitation censurées montre comment la censure peut devenir un objet de provocation et refléter les limites morales d'une époque.
