Subjectiles IX. Essais critiques

Par : Louis Doucet

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  • Nombre de pages364
  • PrésentationBroché
  • Poids0.474 kg
  • Dimensions14,0 cm × 22,5 cm × 1,5 cm
  • ISBN979-10-92163-21-6
  • EAN9791092163216
  • Date de parution24/02/2020
  • ÉditeurCYNORRHODON

Résumé

Pourquoi continuer à pratiquer la critique d'art ? C'est peut-être Walter Benjamin qui en donne, dès 1915, la raison la plus impérative : "au moyen de la connaissance, libérer l'avenir de ce qui aujourd'hui le défigure. C'est là le seul but de la critique". Par la connaissance, libérer le présent de ce qui le défigure pour un avenir meilleur... Belle utopie... Ce neuvième volume de textes critiques poursuit dans cette voie, sans grand espoir de voir les choses changer.
Il faut donc lire ces contributions comme étant l'expression d'un refus de se faire le complice, fût-il passif, de la démarche de déshumanisation de la personne, de dénigrement de toute pensée ou de tout comportement qui n'adhère pas étroitement aux canons de la bien-pensance et du conformisme intellectuel. C'est du point de vue subjectif d'un regardeur de l'oeuvre que l'auteur de ces textes se positionne.
Il n'est ici question que de travaux pour lesquels il éprouve de l'intérêt, qu'il apprécie. Ceci ne simplifie pas sa tâche, puisque, comme l'écrivait Pierre Reverdy : "Un critique ne se trahit presque jamais tant qu'il se borne à attaquer ce qu'il déteste. C'est quand il avoue et veut défendre ce qu'il aime qu'il dévoile sa propre médiocrité". Tant pis, donc, si cette médiocrité est parfois patente.
Il n'est pas question de se taire, de rester dans un silence hautain car, comme le remarquait encore Reverdy : "Le silence est la forme la plus haineuse ou la plus modeste de la critique".
Pourquoi continuer à pratiquer la critique d'art ? C'est peut-être Walter Benjamin qui en donne, dès 1915, la raison la plus impérative : "au moyen de la connaissance, libérer l'avenir de ce qui aujourd'hui le défigure. C'est là le seul but de la critique". Par la connaissance, libérer le présent de ce qui le défigure pour un avenir meilleur... Belle utopie... Ce neuvième volume de textes critiques poursuit dans cette voie, sans grand espoir de voir les choses changer.
Il faut donc lire ces contributions comme étant l'expression d'un refus de se faire le complice, fût-il passif, de la démarche de déshumanisation de la personne, de dénigrement de toute pensée ou de tout comportement qui n'adhère pas étroitement aux canons de la bien-pensance et du conformisme intellectuel. C'est du point de vue subjectif d'un regardeur de l'oeuvre que l'auteur de ces textes se positionne.
Il n'est ici question que de travaux pour lesquels il éprouve de l'intérêt, qu'il apprécie. Ceci ne simplifie pas sa tâche, puisque, comme l'écrivait Pierre Reverdy : "Un critique ne se trahit presque jamais tant qu'il se borne à attaquer ce qu'il déteste. C'est quand il avoue et veut défendre ce qu'il aime qu'il dévoile sa propre médiocrité". Tant pis, donc, si cette médiocrité est parfois patente.
Il n'est pas question de se taire, de rester dans un silence hautain car, comme le remarquait encore Reverdy : "Le silence est la forme la plus haineuse ou la plus modeste de la critique".
Paris
Louis Doucet, Nicolas Imbert, Nicole Imbert, Marcel Renébon, Rosine Mazin
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L'autre rive
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