Stylistique et poétique. Pour une lecture impliquée de la poésie africaine
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- Nombre de pages264
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.32 kg
- Dimensions13,5 cm × 21,5 cm × 2,0 cm
- ISBN978-2-343-10582-6
- EAN9782343105826
- Date de parution07/06/2017
- ÉditeurL'Harmattan
- PréfacierLouis Millogo
Résumé
La stylistique des textes et la poétique des genres et des formes littéraires coopèrent dans la pratique en préservant leurs principes doctrinaux et compétences propres. Les trois chapitres ici réunis tentent d'apporter une justification théorique à cette condition fondamentale, avant de proposer deux lectures conjointes à un échantillon de la poésie africaine francophone. Pour les exemplifications, l'innovation sociopoétique essaie de concilier les pôles de production et de réception dans trois poèmes pionniers de Léopold Sédar Senghor et la trilogie poétique de Bottey Zadi Zaourou, en insistant sur les trajectoires d'auteurs, les images et l'idée de pacte de lecture.
La poétique de la poésie carcérale organise, pour sa part, le vocabulaire des passions procédant des couples antinomiques : " prisonniers " vs " geôliers ", " dedans " vs " dehors ", " mort " vs " vie " en vue de discerner une cohérence restreinte dans le canton poétique africain. La praxis' stylistique, quant à elle, se consacre à l'exploration des postes fondamentaux de la caractérisation, du système figuré et de l'énonciation en rapport avec les effets-images qui leur sont ajustés.
Elle veut ainsi discerner une écriture dans laquelle l'esthétique immanente ménage une relation symbolique à certaines valeurs socioculturelles africaines.
La poétique de la poésie carcérale organise, pour sa part, le vocabulaire des passions procédant des couples antinomiques : " prisonniers " vs " geôliers ", " dedans " vs " dehors ", " mort " vs " vie " en vue de discerner une cohérence restreinte dans le canton poétique africain. La praxis' stylistique, quant à elle, se consacre à l'exploration des postes fondamentaux de la caractérisation, du système figuré et de l'énonciation en rapport avec les effets-images qui leur sont ajustés.
Elle veut ainsi discerner une écriture dans laquelle l'esthétique immanente ménage une relation symbolique à certaines valeurs socioculturelles africaines.
La stylistique des textes et la poétique des genres et des formes littéraires coopèrent dans la pratique en préservant leurs principes doctrinaux et compétences propres. Les trois chapitres ici réunis tentent d'apporter une justification théorique à cette condition fondamentale, avant de proposer deux lectures conjointes à un échantillon de la poésie africaine francophone. Pour les exemplifications, l'innovation sociopoétique essaie de concilier les pôles de production et de réception dans trois poèmes pionniers de Léopold Sédar Senghor et la trilogie poétique de Bottey Zadi Zaourou, en insistant sur les trajectoires d'auteurs, les images et l'idée de pacte de lecture.
La poétique de la poésie carcérale organise, pour sa part, le vocabulaire des passions procédant des couples antinomiques : " prisonniers " vs " geôliers ", " dedans " vs " dehors ", " mort " vs " vie " en vue de discerner une cohérence restreinte dans le canton poétique africain. La praxis' stylistique, quant à elle, se consacre à l'exploration des postes fondamentaux de la caractérisation, du système figuré et de l'énonciation en rapport avec les effets-images qui leur sont ajustés.
Elle veut ainsi discerner une écriture dans laquelle l'esthétique immanente ménage une relation symbolique à certaines valeurs socioculturelles africaines.
La poétique de la poésie carcérale organise, pour sa part, le vocabulaire des passions procédant des couples antinomiques : " prisonniers " vs " geôliers ", " dedans " vs " dehors ", " mort " vs " vie " en vue de discerner une cohérence restreinte dans le canton poétique africain. La praxis' stylistique, quant à elle, se consacre à l'exploration des postes fondamentaux de la caractérisation, du système figuré et de l'énonciation en rapport avec les effets-images qui leur sont ajustés.
Elle veut ainsi discerner une écriture dans laquelle l'esthétique immanente ménage une relation symbolique à certaines valeurs socioculturelles africaines.