Studio Madame. Laurence Bibot
1e édition
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- Nombre de pages56
- PrésentationRelié
- Poids0.001 kg
- Dimensions19,5 cm × 23,0 cm × 0,1 cm
- ISBN978-2-87183-080-1
- EAN9782871830801
- Date de parution28/02/2020
- ÉditeurMUSEE PHOTO
Résumé
Changer d'apparence, d'époque, de genre, se regarder dans le miroir, avant de se produire devant les copains, le cercle de famille, en reproduisant les tics de chacun, les vedettes de l'écran. Les enfants aiment à se déguiser, piochant dans les armoires et les greniers costumes, chapeaux et autres accessoires. En grandissant, certains ont conservé cette part de jeu, ce goût du déguisement, du grimage, il arrive même qu'ils en fassent profession.
Ainsi de Laurence Bibot que l'on aura connue en Miss Bricola avec Les Snuls, puis en ses spectacles tel Bravo Martine où les clichés s'enchaînaient, l'intonation, le timbre de voix démasquant les stéréotypes, féminins cette fois. Depuis quelques années, au départ des archives télévisées conservées par la Sonuma, Laurence Bibot a réalisé une série de petites capsules s'emparant d'archétypes féminins, shampouineuse, directrice d'école, nymphette, ménagère de plus de 50 ans, femme dépressive ou exaltée, mais aussi des personnages connus, Barbara, Juliette Gréco, Soeur Sourire ou plus récemment Amélie Nothomb dont la confection du chapeau haut aura nécessité des trésors d'imagination.
Il ne s'agit plus ici d'imitations mais de playbacks, Laurence Bibot reproduisant le mouvement des lèvres des interviewées dont elle a adopté le costume et les éléments du décor. Perruques, foulards, lunettes anachroniques, sur chemisiers fleuris ou tailleurs Chanel, sont au rendez-vous de ces parodies où l'on aura parfois quelque peine à reconnaître la comédienne.
Ainsi de Laurence Bibot que l'on aura connue en Miss Bricola avec Les Snuls, puis en ses spectacles tel Bravo Martine où les clichés s'enchaînaient, l'intonation, le timbre de voix démasquant les stéréotypes, féminins cette fois. Depuis quelques années, au départ des archives télévisées conservées par la Sonuma, Laurence Bibot a réalisé une série de petites capsules s'emparant d'archétypes féminins, shampouineuse, directrice d'école, nymphette, ménagère de plus de 50 ans, femme dépressive ou exaltée, mais aussi des personnages connus, Barbara, Juliette Gréco, Soeur Sourire ou plus récemment Amélie Nothomb dont la confection du chapeau haut aura nécessité des trésors d'imagination.
Il ne s'agit plus ici d'imitations mais de playbacks, Laurence Bibot reproduisant le mouvement des lèvres des interviewées dont elle a adopté le costume et les éléments du décor. Perruques, foulards, lunettes anachroniques, sur chemisiers fleuris ou tailleurs Chanel, sont au rendez-vous de ces parodies où l'on aura parfois quelque peine à reconnaître la comédienne.
Changer d'apparence, d'époque, de genre, se regarder dans le miroir, avant de se produire devant les copains, le cercle de famille, en reproduisant les tics de chacun, les vedettes de l'écran. Les enfants aiment à se déguiser, piochant dans les armoires et les greniers costumes, chapeaux et autres accessoires. En grandissant, certains ont conservé cette part de jeu, ce goût du déguisement, du grimage, il arrive même qu'ils en fassent profession.
Ainsi de Laurence Bibot que l'on aura connue en Miss Bricola avec Les Snuls, puis en ses spectacles tel Bravo Martine où les clichés s'enchaînaient, l'intonation, le timbre de voix démasquant les stéréotypes, féminins cette fois. Depuis quelques années, au départ des archives télévisées conservées par la Sonuma, Laurence Bibot a réalisé une série de petites capsules s'emparant d'archétypes féminins, shampouineuse, directrice d'école, nymphette, ménagère de plus de 50 ans, femme dépressive ou exaltée, mais aussi des personnages connus, Barbara, Juliette Gréco, Soeur Sourire ou plus récemment Amélie Nothomb dont la confection du chapeau haut aura nécessité des trésors d'imagination.
Il ne s'agit plus ici d'imitations mais de playbacks, Laurence Bibot reproduisant le mouvement des lèvres des interviewées dont elle a adopté le costume et les éléments du décor. Perruques, foulards, lunettes anachroniques, sur chemisiers fleuris ou tailleurs Chanel, sont au rendez-vous de ces parodies où l'on aura parfois quelque peine à reconnaître la comédienne.
Ainsi de Laurence Bibot que l'on aura connue en Miss Bricola avec Les Snuls, puis en ses spectacles tel Bravo Martine où les clichés s'enchaînaient, l'intonation, le timbre de voix démasquant les stéréotypes, féminins cette fois. Depuis quelques années, au départ des archives télévisées conservées par la Sonuma, Laurence Bibot a réalisé une série de petites capsules s'emparant d'archétypes féminins, shampouineuse, directrice d'école, nymphette, ménagère de plus de 50 ans, femme dépressive ou exaltée, mais aussi des personnages connus, Barbara, Juliette Gréco, Soeur Sourire ou plus récemment Amélie Nothomb dont la confection du chapeau haut aura nécessité des trésors d'imagination.
Il ne s'agit plus ici d'imitations mais de playbacks, Laurence Bibot reproduisant le mouvement des lèvres des interviewées dont elle a adopté le costume et les éléments du décor. Perruques, foulards, lunettes anachroniques, sur chemisiers fleuris ou tailleurs Chanel, sont au rendez-vous de ces parodies où l'on aura parfois quelque peine à reconnaître la comédienne.