Strasbourg 1870. Le récit du siège d'après le journal inédit d'Ernest Frantz

Par : Ernest Frantz

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  • Nombre de pages240
  • PrésentationBroché
  • Poids0.83 kg
  • Dimensions20,0 cm × 26,0 cm × 2,1 cm
  • ISBN978-2-35578-087-5
  • EAN9782355780875
  • Date de parution01/05/2011
  • ÉditeurPlace Stanislas Editions
  • Commentateur (texte)Aline Bouche
  • Commentateur (texte)David Bourgeois
  • Commentateur (texte)Marie-Claire Vitoux

Résumé

Le siège et le bombardement de la ville de Strasbourg par les troupes prussiennes de Bismarck en 1870 fut un événement considérable, ressenti en France et dans les pays limitrophes comme un véritable traumatisme, un événement dénoncé comme un acte de barbarie de la part de l’Allemagne prussienne. Dans un journal documenté et enrichi de nombreux témoignages (affiches, photographies, avis municipaux, communiqués de l’armée française et allemande…), le témoin Ernst Frantz (un musicien instruit et cultivé) raconte jour après jour la lente agonie d’une ville soumise à un siège de près de trois mois, le premier siège urbain de l’histoire moderne.
Au-delà de la chronique émaillée de nombreuses réflexions sur le sens de cette guerre, l’abandon de la ville par la France, le caractère brutal des assiégeants…, ce journal est l’occasion de rencontrer les habitants, partagés entre esprit de résistance et fatalisme. L’abandon, c’est bien ce qu’exprime ce journal de près de 200 pages : l’abandon par le pouvoir impérial de Napoléon III de la plus grande ville de l’est de la France, quelques mois avant le déchirement causé par les provinces perdues (Alsace et Moselle) à l’issue du traité de Francfort.
Le siège et le bombardement de la ville de Strasbourg par les troupes prussiennes de Bismarck en 1870 fut un événement considérable, ressenti en France et dans les pays limitrophes comme un véritable traumatisme, un événement dénoncé comme un acte de barbarie de la part de l’Allemagne prussienne. Dans un journal documenté et enrichi de nombreux témoignages (affiches, photographies, avis municipaux, communiqués de l’armée française et allemande…), le témoin Ernst Frantz (un musicien instruit et cultivé) raconte jour après jour la lente agonie d’une ville soumise à un siège de près de trois mois, le premier siège urbain de l’histoire moderne.
Au-delà de la chronique émaillée de nombreuses réflexions sur le sens de cette guerre, l’abandon de la ville par la France, le caractère brutal des assiégeants…, ce journal est l’occasion de rencontrer les habitants, partagés entre esprit de résistance et fatalisme. L’abandon, c’est bien ce qu’exprime ce journal de près de 200 pages : l’abandon par le pouvoir impérial de Napoléon III de la plus grande ville de l’est de la France, quelques mois avant le déchirement causé par les provinces perdues (Alsace et Moselle) à l’issue du traité de Francfort.