Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Nul doute que l'oeuvre de Stéphane Spach est un reflet juste et pur de l'énigme du temps, une ouverture directe pratiquée sur cette énigme, et c'est...
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Résumé
Nul doute que l'oeuvre de Stéphane Spach est un reflet juste et pur de l'énigme du temps, une ouverture directe pratiquée sur cette énigme, et c'est pourquoi cette oeuvre, à proprement parler, est belle : elle témoigne que l'artiste a eu un contact réel, direct et immédiat, avec le mystère de l'éphémère.
Stéphane Spach glane et collecte. Il soustrait le décor, fixe, et répète. Il n'en plante un que pour mieux révéler les contours et la matérialité nue de l'objet. Il s'agit presque toujours de délier l'objet, de le dégager de ses liens, afin de (le) faire voir autrement (de faire sentir, toucher autrement, car ces objets ainsi saisis sont pleins d'entailles, de plis et d'éraflures). Alors, la familiarité - ou l'absence - des relations qu'avec lui nous entretenions se met subrepticement à vaciller. Le familier inquiète, et c'est par là qu'il suscite, qu'il oblige presque, l'attention. L'attention particulière qu'il déploie lorsqu'il saisit (capture) des paysages n'est qu'un autre versant de ce travail qui s'attache à produire le cadre d'une célébration de l'ordinaire. Une banalité — des lieux, des éléments qui les composent — qui se situe au seuil de nos regards familiers, de leur absence ou de leur effacement.