Chercheuse bien connue des spécialistes pour ses travaux sur Senancour, Sand et Stendhal entre autres, Béatrice Didier est l'auteure de cet ouvrage qui se propose d'explorer le rôle que joue la musique dans la quête d'identité de Stendhal : "Pour des raisons multiples, historiques et personnelles, Beyle semble être longtemps resté à la recherche de son identité. La musique lui a enfin permis de se trouver, en devenant un musicien, mais un musicien qui ignore " le bête de la musique ", c'est-à-dire sa technique.
Par-delà une expérience d'auditeur passionné et de critique musical, il découvre alors une musique tout intérieure : musique du moi aux prises avec le temps, la musique d'une vie"". Ce recueil d'études et d'essais - en partie déjà parus mais remaniés pour l'occasion - offre un témoignage de l'histoire de la critique stendhalienne, illustrant la contribution apportée par Béatrice Didier, notamment sur les questions liées à la musique et à l'écriture personnelle (Vie de Henry Brulard, correspondance).
Avec un avant-propos à caractère autobiographique qui éclaire le sens d'une longue fidélité au grand écrivain grenoblois, alliée à une expertise reconnue en matière d'histoire de la musique.
Chercheuse bien connue des spécialistes pour ses travaux sur Senancour, Sand et Stendhal entre autres, Béatrice Didier est l'auteure de cet ouvrage qui se propose d'explorer le rôle que joue la musique dans la quête d'identité de Stendhal : "Pour des raisons multiples, historiques et personnelles, Beyle semble être longtemps resté à la recherche de son identité. La musique lui a enfin permis de se trouver, en devenant un musicien, mais un musicien qui ignore " le bête de la musique ", c'est-à-dire sa technique.
Par-delà une expérience d'auditeur passionné et de critique musical, il découvre alors une musique tout intérieure : musique du moi aux prises avec le temps, la musique d'une vie"". Ce recueil d'études et d'essais - en partie déjà parus mais remaniés pour l'occasion - offre un témoignage de l'histoire de la critique stendhalienne, illustrant la contribution apportée par Béatrice Didier, notamment sur les questions liées à la musique et à l'écriture personnelle (Vie de Henry Brulard, correspondance).
Avec un avant-propos à caractère autobiographique qui éclaire le sens d'une longue fidélité au grand écrivain grenoblois, alliée à une expertise reconnue en matière d'histoire de la musique.