Steam Power
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- Nombre de pages167
- PrésentationRelié
- FormatBeau Livre
- Poids1.23 kg
- Dimensions26,7 cm × 27,9 cm × 2,0 cm
- ISBN978-2-35906-360-8
- EAN9782359063608
- Date de parution02/12/2021
- ÉditeurLienart
- PréfacierBénédicte Philippe
- TraducteurIsabelle Pietromarchi
- TraducteurJohn Parker
- TraducteurRichard Overstreet
Résumé
Steam Power est le témoignage en photographies d'une passion d'enfance ? : celle du photographe et architecte italien, Pietro Pietromarchi (né en 1965), pour les trains à vapeur. En 1992, à l'occasion d'un stage chez un architecte indien, Pietromarchi découvre depuis Ahmedabab, où il réside alors, la richesse du réseau à vapeur local toujours en activité. Dès lors, chaque voyage devient pour lui un prétexte pour découvrir des lignes ferroviaires et des sites miniers où ces vieux engins sont encore utilisés au quotidien.
Il s'agit pour le photographe de conserver par l'image un pan d'histoire, d'immortaliser les locomotives à vapeur jusqu'à leur dernier souffle. Cette démarche documentaire le conduit dans les endroits les plus reculés et les plus inhospitaliers de la planète. Locomotives, gares, signaux, nuages de vapeur... les photographies de Pietromarchi font revivre ce paysage ferroviaire, qui était entré dans l'imaginaire par la littérature, de Jules Verne à Zola, la peinture, de Turner, Monet, Caillebotte à Delvaux, et le cinéma, mais qui disparaît du quotidien au rythme accéléré du progrès.
Seuls résistent les pays riches en charbon d'Europe de l'Est ou trop pauvres pour moderniser leurs infrastructures de transport, comme l'Afrique du Sud, la Chine ou l'Inde. A l'Ouest, des anciens, conscients de la valeur de ce patrimoine, parviennent néanmoins à la sauvegarde de quelques lignes, à la grande joie des touristes. De l'Erythrée au Skri Lanka, jusqu'en Patagonie... A travers l'oeil de Pietro Pietromarchi, on peut entendre les convois s'ébranler, les motrices s'élancer, les essieux crisser à l'arrivée en gare.
Il s'agit pour le photographe de conserver par l'image un pan d'histoire, d'immortaliser les locomotives à vapeur jusqu'à leur dernier souffle. Cette démarche documentaire le conduit dans les endroits les plus reculés et les plus inhospitaliers de la planète. Locomotives, gares, signaux, nuages de vapeur... les photographies de Pietromarchi font revivre ce paysage ferroviaire, qui était entré dans l'imaginaire par la littérature, de Jules Verne à Zola, la peinture, de Turner, Monet, Caillebotte à Delvaux, et le cinéma, mais qui disparaît du quotidien au rythme accéléré du progrès.
Seuls résistent les pays riches en charbon d'Europe de l'Est ou trop pauvres pour moderniser leurs infrastructures de transport, comme l'Afrique du Sud, la Chine ou l'Inde. A l'Ouest, des anciens, conscients de la valeur de ce patrimoine, parviennent néanmoins à la sauvegarde de quelques lignes, à la grande joie des touristes. De l'Erythrée au Skri Lanka, jusqu'en Patagonie... A travers l'oeil de Pietro Pietromarchi, on peut entendre les convois s'ébranler, les motrices s'élancer, les essieux crisser à l'arrivée en gare.
Steam Power est le témoignage en photographies d'une passion d'enfance ? : celle du photographe et architecte italien, Pietro Pietromarchi (né en 1965), pour les trains à vapeur. En 1992, à l'occasion d'un stage chez un architecte indien, Pietromarchi découvre depuis Ahmedabab, où il réside alors, la richesse du réseau à vapeur local toujours en activité. Dès lors, chaque voyage devient pour lui un prétexte pour découvrir des lignes ferroviaires et des sites miniers où ces vieux engins sont encore utilisés au quotidien.
Il s'agit pour le photographe de conserver par l'image un pan d'histoire, d'immortaliser les locomotives à vapeur jusqu'à leur dernier souffle. Cette démarche documentaire le conduit dans les endroits les plus reculés et les plus inhospitaliers de la planète. Locomotives, gares, signaux, nuages de vapeur... les photographies de Pietromarchi font revivre ce paysage ferroviaire, qui était entré dans l'imaginaire par la littérature, de Jules Verne à Zola, la peinture, de Turner, Monet, Caillebotte à Delvaux, et le cinéma, mais qui disparaît du quotidien au rythme accéléré du progrès.
Seuls résistent les pays riches en charbon d'Europe de l'Est ou trop pauvres pour moderniser leurs infrastructures de transport, comme l'Afrique du Sud, la Chine ou l'Inde. A l'Ouest, des anciens, conscients de la valeur de ce patrimoine, parviennent néanmoins à la sauvegarde de quelques lignes, à la grande joie des touristes. De l'Erythrée au Skri Lanka, jusqu'en Patagonie... A travers l'oeil de Pietro Pietromarchi, on peut entendre les convois s'ébranler, les motrices s'élancer, les essieux crisser à l'arrivée en gare.
Il s'agit pour le photographe de conserver par l'image un pan d'histoire, d'immortaliser les locomotives à vapeur jusqu'à leur dernier souffle. Cette démarche documentaire le conduit dans les endroits les plus reculés et les plus inhospitaliers de la planète. Locomotives, gares, signaux, nuages de vapeur... les photographies de Pietromarchi font revivre ce paysage ferroviaire, qui était entré dans l'imaginaire par la littérature, de Jules Verne à Zola, la peinture, de Turner, Monet, Caillebotte à Delvaux, et le cinéma, mais qui disparaît du quotidien au rythme accéléré du progrès.
Seuls résistent les pays riches en charbon d'Europe de l'Est ou trop pauvres pour moderniser leurs infrastructures de transport, comme l'Afrique du Sud, la Chine ou l'Inde. A l'Ouest, des anciens, conscients de la valeur de ce patrimoine, parviennent néanmoins à la sauvegarde de quelques lignes, à la grande joie des touristes. De l'Erythrée au Skri Lanka, jusqu'en Patagonie... A travers l'oeil de Pietro Pietromarchi, on peut entendre les convois s'ébranler, les motrices s'élancer, les essieux crisser à l'arrivée en gare.