Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
En introduisant la notion de " capacité négative " qu'il référait à Shakespeare, Keats entendait se démarquer des poètes romantiques (Wordsworth...
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Livré chez vous entre le 24 septembre et le 27 septembre
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Résumé
En introduisant la notion de " capacité négative " qu'il référait à Shakespeare, Keats entendait se démarquer des poètes romantiques (Wordsworth et Coleridge, notamment) qu'il rangeait plutôt du côté du " sublime égotiste " dont Rousseau aurait été l'initiateur. Il existe pourtant - telle est l'hypothèse de ce livre - une forme spécifiquement romantique de " capacité négative ", la forme du récit de rêve. À tout le moins, le rêve joue-t-il dans le romantisme le rôle d'un embrayeur de l'exploration subjective dont on analyse ici, de Jean Paul à Nerval, de Baudelaire à Rimbaud ou encore à propos de Wagner et de ses admirateurs français, quelques moments-clés. (J.E.J.)