Souvenirs de la Grande Guerre. Notes extraites de mon journal de guerre
Par :Formats :
- Paiement en ligne :
- Livraison à domicile ou en point Mondial Relay indisponible
- Retrait Click and Collect en magasin gratuit
- Réservation en ligne avec paiement en magasin :
- Indisponible pour réserver et payer en magasin
- Nombre de pages801
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids1.225 kg
- Dimensions16,0 cm × 24,0 cm × 6,0 cm
- ISBN978-2-37535-069-0
- EAN9782375350690
- Date de parution01/05/2018
- CollectionRéférence
- ÉditeurParaiges (Editions des)
- PréfacierJean-Noël Grandhomme
- Directeur de publicationJean-Claude Dubois
Résumé
Après les Joffre, Foch, Castelnau, Gouraud, Mangin, Franchet d'Espèrey, Gallieni, Lyautey, Berthelot est l'un des officiers généraux les plus importants de cette immense tragédie, mais aussi de cette gigantesque aventure collective que constitua la Première Guerre mondiale. Chargés d'âme comme des pères de famille - ce que Berthelot ne fut pas dans sa vie personnelle -, ces hommes ont occupé des fonctions qui les rendaient responsables de milliers, voire de centaines de milliers de destins individuels, parfois sacrifiés pour ce qu'ils croyaient être le bien commun : la Victoire.
Il est difficile aujourd'hui de se replacer dans le contexte d'une époque encore relativement proche et pourtant si différente, par bien des aspects, de la nôtre. Des documents comme ce Journal nous y aident ; ils nous permettent de cerner l'état d'esprit et les motivations des "grands chefs", comme on les appelait alors. Ces souvenirs fourmillent d'informations sur les événements tels que le Grand Quartier Général pouvait les apprécier, les circuits de décision, les rivalités entre les uns et les autres, la difficile entente avec les Britanniques, les erreurs du commandement aussi.
Les acteurs du drame y apparaissent avec leur grandeur et leurs faiblesses, en un moment unique, celui où mourait vraiment l'Ancien Régime et naissait le XXe siècle, celui de la démesure en toute chose.
Il est difficile aujourd'hui de se replacer dans le contexte d'une époque encore relativement proche et pourtant si différente, par bien des aspects, de la nôtre. Des documents comme ce Journal nous y aident ; ils nous permettent de cerner l'état d'esprit et les motivations des "grands chefs", comme on les appelait alors. Ces souvenirs fourmillent d'informations sur les événements tels que le Grand Quartier Général pouvait les apprécier, les circuits de décision, les rivalités entre les uns et les autres, la difficile entente avec les Britanniques, les erreurs du commandement aussi.
Les acteurs du drame y apparaissent avec leur grandeur et leurs faiblesses, en un moment unique, celui où mourait vraiment l'Ancien Régime et naissait le XXe siècle, celui de la démesure en toute chose.
Après les Joffre, Foch, Castelnau, Gouraud, Mangin, Franchet d'Espèrey, Gallieni, Lyautey, Berthelot est l'un des officiers généraux les plus importants de cette immense tragédie, mais aussi de cette gigantesque aventure collective que constitua la Première Guerre mondiale. Chargés d'âme comme des pères de famille - ce que Berthelot ne fut pas dans sa vie personnelle -, ces hommes ont occupé des fonctions qui les rendaient responsables de milliers, voire de centaines de milliers de destins individuels, parfois sacrifiés pour ce qu'ils croyaient être le bien commun : la Victoire.
Il est difficile aujourd'hui de se replacer dans le contexte d'une époque encore relativement proche et pourtant si différente, par bien des aspects, de la nôtre. Des documents comme ce Journal nous y aident ; ils nous permettent de cerner l'état d'esprit et les motivations des "grands chefs", comme on les appelait alors. Ces souvenirs fourmillent d'informations sur les événements tels que le Grand Quartier Général pouvait les apprécier, les circuits de décision, les rivalités entre les uns et les autres, la difficile entente avec les Britanniques, les erreurs du commandement aussi.
Les acteurs du drame y apparaissent avec leur grandeur et leurs faiblesses, en un moment unique, celui où mourait vraiment l'Ancien Régime et naissait le XXe siècle, celui de la démesure en toute chose.
Il est difficile aujourd'hui de se replacer dans le contexte d'une époque encore relativement proche et pourtant si différente, par bien des aspects, de la nôtre. Des documents comme ce Journal nous y aident ; ils nous permettent de cerner l'état d'esprit et les motivations des "grands chefs", comme on les appelait alors. Ces souvenirs fourmillent d'informations sur les événements tels que le Grand Quartier Général pouvait les apprécier, les circuits de décision, les rivalités entre les uns et les autres, la difficile entente avec les Britanniques, les erreurs du commandement aussi.
Les acteurs du drame y apparaissent avec leur grandeur et leurs faiblesses, en un moment unique, celui où mourait vraiment l'Ancien Régime et naissait le XXe siècle, celui de la démesure en toute chose.