"Souvenirs d'Allemagne" Journal d'un S.T.O. Essen/Langenbielau/Wernshausen Novembre 1942-Avril 1945
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- Nombre de pages212
- PrésentationBroché
- Poids0.345 kg
- Dimensions15,5 cm × 24,0 cm × 1,2 cm
- ISBN978-2-296-56586-9
- EAN9782296565869
- Date de parution01/10/2011
- CollectionMémoires du XXe siècle
- ÉditeurL'Harmattan
Résumé
Né le 11 avril 1920, Gilbert Barbier s'est éteint le 3 mars 2006.
En 1942, demeurant à Achères, il était employé chez Glaenzer
Spicer à Poissy. En mars et avril de la même année, des raids
alliés bombardent l'usine Ford et touchent les autres fabriques
implantées aux alentours. Les jeunes employés, qui ont
participé au déblaiement des décombres de l'usine Glaenzer
Spicer, se voient réquisitionner pour garder les voies ferrées la
nuit, après leur travail.
Ils l'ont fait une fois, puis ont refusé d'obéir. Convoqués au bureau de l'usine, ils ont été reçus par un Allemand, dont le revolver était posé sur le bureau, et en présence d'un Inspecteur du Travail français. Cette confrontation avait pour objectif de leur faire signer un contrat de travail. Comme d'autres collègues, il a refusé de signer cet engagement. S'il ne parlait que rarement de sa vie de travailleur forcé en Allemagne, néanmoins consentait-il parfois à prêter un cahier manuscrit intitulé "Souvenirs d'Allemagne" relatant sa vie quotidienne entre le 27 novembre 1942 et le 20 avril 1945.
Ce cahier, les carnets originaux et divers documents ont été recueillis suite à son décès. Alain et Marc, ses deux fils, ont souhaité que ce manuscrit ne reste pas lettre morte et que cette publication soit reçue comme un simple témoignage historique.
Ils l'ont fait une fois, puis ont refusé d'obéir. Convoqués au bureau de l'usine, ils ont été reçus par un Allemand, dont le revolver était posé sur le bureau, et en présence d'un Inspecteur du Travail français. Cette confrontation avait pour objectif de leur faire signer un contrat de travail. Comme d'autres collègues, il a refusé de signer cet engagement. S'il ne parlait que rarement de sa vie de travailleur forcé en Allemagne, néanmoins consentait-il parfois à prêter un cahier manuscrit intitulé "Souvenirs d'Allemagne" relatant sa vie quotidienne entre le 27 novembre 1942 et le 20 avril 1945.
Ce cahier, les carnets originaux et divers documents ont été recueillis suite à son décès. Alain et Marc, ses deux fils, ont souhaité que ce manuscrit ne reste pas lettre morte et que cette publication soit reçue comme un simple témoignage historique.
Né le 11 avril 1920, Gilbert Barbier s'est éteint le 3 mars 2006.
En 1942, demeurant à Achères, il était employé chez Glaenzer
Spicer à Poissy. En mars et avril de la même année, des raids
alliés bombardent l'usine Ford et touchent les autres fabriques
implantées aux alentours. Les jeunes employés, qui ont
participé au déblaiement des décombres de l'usine Glaenzer
Spicer, se voient réquisitionner pour garder les voies ferrées la
nuit, après leur travail.
Ils l'ont fait une fois, puis ont refusé d'obéir. Convoqués au bureau de l'usine, ils ont été reçus par un Allemand, dont le revolver était posé sur le bureau, et en présence d'un Inspecteur du Travail français. Cette confrontation avait pour objectif de leur faire signer un contrat de travail. Comme d'autres collègues, il a refusé de signer cet engagement. S'il ne parlait que rarement de sa vie de travailleur forcé en Allemagne, néanmoins consentait-il parfois à prêter un cahier manuscrit intitulé "Souvenirs d'Allemagne" relatant sa vie quotidienne entre le 27 novembre 1942 et le 20 avril 1945.
Ce cahier, les carnets originaux et divers documents ont été recueillis suite à son décès. Alain et Marc, ses deux fils, ont souhaité que ce manuscrit ne reste pas lettre morte et que cette publication soit reçue comme un simple témoignage historique.
Ils l'ont fait une fois, puis ont refusé d'obéir. Convoqués au bureau de l'usine, ils ont été reçus par un Allemand, dont le revolver était posé sur le bureau, et en présence d'un Inspecteur du Travail français. Cette confrontation avait pour objectif de leur faire signer un contrat de travail. Comme d'autres collègues, il a refusé de signer cet engagement. S'il ne parlait que rarement de sa vie de travailleur forcé en Allemagne, néanmoins consentait-il parfois à prêter un cahier manuscrit intitulé "Souvenirs d'Allemagne" relatant sa vie quotidienne entre le 27 novembre 1942 et le 20 avril 1945.
Ce cahier, les carnets originaux et divers documents ont été recueillis suite à son décès. Alain et Marc, ses deux fils, ont souhaité que ce manuscrit ne reste pas lettre morte et que cette publication soit reçue comme un simple témoignage historique.