Sous vide. Journal d'une anosmie
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- Nombre de pages91
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.14 kg
- Dimensions13,5 cm × 20,5 cm × 0,9 cm
- ISBN978-2-916749-10-5
- EAN9782916749105
- Date de parution26/02/2009
- ÉditeurFondeurs de Briques (Les)
Résumé
A Paris, suite à une agression, un artiste-peintre perd l'odorat (anosmie) et le goût (agueusie). Cette privation des sens va affecter son quotidien et son processus créatif. Sous vide est le journal de bord de ses 14 premiers mois à la recherche de sensations perdues. Tour à tour dramatique, de par la situation, mais souvent drôle, grâce à la verve du narrateur, le récit fait appel aux souvenirs gustatifs et charnels de l'auteur.
Bréviaire du goût et de notre rapport à l'alimentation et aux odeurs plutôt que récit clinique, Sous vide se clôt alors que l'espérance renaît chez le narrateur. Un épilogue nous indique qu'il a recouvré, deux années plus tard, 80% du goût et 15% de l'odorat.
Bréviaire du goût et de notre rapport à l'alimentation et aux odeurs plutôt que récit clinique, Sous vide se clôt alors que l'espérance renaît chez le narrateur. Un épilogue nous indique qu'il a recouvré, deux années plus tard, 80% du goût et 15% de l'odorat.
A Paris, suite à une agression, un artiste-peintre perd l'odorat (anosmie) et le goût (agueusie). Cette privation des sens va affecter son quotidien et son processus créatif. Sous vide est le journal de bord de ses 14 premiers mois à la recherche de sensations perdues. Tour à tour dramatique, de par la situation, mais souvent drôle, grâce à la verve du narrateur, le récit fait appel aux souvenirs gustatifs et charnels de l'auteur.
Bréviaire du goût et de notre rapport à l'alimentation et aux odeurs plutôt que récit clinique, Sous vide se clôt alors que l'espérance renaît chez le narrateur. Un épilogue nous indique qu'il a recouvré, deux années plus tard, 80% du goût et 15% de l'odorat.
Bréviaire du goût et de notre rapport à l'alimentation et aux odeurs plutôt que récit clinique, Sous vide se clôt alors que l'espérance renaît chez le narrateur. Un épilogue nous indique qu'il a recouvré, deux années plus tard, 80% du goût et 15% de l'odorat.