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Souffrance au travail et discours capitaliste. Une lecture psychanalytique subversive
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- Nombre de pages200
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.318 kg
- Dimensions15,5 cm × 24,0 cm × 1,5 cm
- ISBN978-2-14-030303-6
- EAN9782140303036
- Date de parution15/12/2022
- CollectionEtudes psychanalytiques
- ÉditeurL'Harmattan
- PréfacierClotilde Leguil
Résumé
Les sociologues du travail précisent diverses causalités de la souffrance au travail : la dérégulation (Durkheim), une langue de l'entreprise appauvrie (Gaulejac), une répression de la pensée (Dejours). Le surmoi freudien introduit la pulsion dans le débat. Lacan en déduit deux concepts majeurs : le signifiant-maître, qui démontre la puissance injonctive du langage, et l'objet plus-de-jouir, dont il fait le principe même du capitalisme.
Sortir du discours capitaliste suppose de se réapproprier sa propre langue et, par là, de dire non au toujours-plus. Le désir qui surgit alimente un lien social nouveau et permet de penser un système politique alternatif à la gouvernance par les nombres.
Sortir du discours capitaliste suppose de se réapproprier sa propre langue et, par là, de dire non au toujours-plus. Le désir qui surgit alimente un lien social nouveau et permet de penser un système politique alternatif à la gouvernance par les nombres.
Les sociologues du travail précisent diverses causalités de la souffrance au travail : la dérégulation (Durkheim), une langue de l'entreprise appauvrie (Gaulejac), une répression de la pensée (Dejours). Le surmoi freudien introduit la pulsion dans le débat. Lacan en déduit deux concepts majeurs : le signifiant-maître, qui démontre la puissance injonctive du langage, et l'objet plus-de-jouir, dont il fait le principe même du capitalisme.
Sortir du discours capitaliste suppose de se réapproprier sa propre langue et, par là, de dire non au toujours-plus. Le désir qui surgit alimente un lien social nouveau et permet de penser un système politique alternatif à la gouvernance par les nombres.
Sortir du discours capitaliste suppose de se réapproprier sa propre langue et, par là, de dire non au toujours-plus. Le désir qui surgit alimente un lien social nouveau et permet de penser un système politique alternatif à la gouvernance par les nombres.
A propos de Françoise Denan
Exégèse des lieux communs en orientation
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