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Sophie Reinhold : Das kann das Leben kosten
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- Nombre de pages32
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.15 kg
- Dimensions20,0 cm × 28,0 cm × 0,1 cm
- ISBN978-3-86442-332-1
- EAN9783864423321
- Date de parution11/03/2021
- ÉditeurSnoeck - Cologne
- AuteurTenzing Barshee
- InterviewerHannes Schmidt
Résumé
"Cela peut coEter la vie" - L'absence est un thème récurrent chez Sophie Reinhold : l'omission, le non-dit, le non-convié. Les règles de base de l'abstraction. Le fait que tout ne doit pas être dit. Le résultat relève de la tonalité ou de l'humeur. Peut-être un thème. Une place est dégagée à l'écart de la langue. Un mutisme très net. Mais avec un grand nombre de motifs, on perd facilement de vue un thème.
Le désordre gagne du terrain. La distance aide alors à retrouver une vue d'ensemble. Dès que la répétition du motif se confirme, le thème a réussi à s'imposer, cela crée l'obsessionnel autant que l'esprit du détachement flegmatique... Ce qu'il y a de vraiment intelligent dans la peinture de Sophie Reinhold, c'est que l'artiste part du principe et ne cesse de prouver avec son art que sa réalité ne peut être lissée, que les choses ont déjà eu lieu depuis longtemps avant de pouvoir être contraintes à une certaine forme.
Le désordre gagne du terrain. La distance aide alors à retrouver une vue d'ensemble. Dès que la répétition du motif se confirme, le thème a réussi à s'imposer, cela crée l'obsessionnel autant que l'esprit du détachement flegmatique... Ce qu'il y a de vraiment intelligent dans la peinture de Sophie Reinhold, c'est que l'artiste part du principe et ne cesse de prouver avec son art que sa réalité ne peut être lissée, que les choses ont déjà eu lieu depuis longtemps avant de pouvoir être contraintes à une certaine forme.
"Cela peut coEter la vie" - L'absence est un thème récurrent chez Sophie Reinhold : l'omission, le non-dit, le non-convié. Les règles de base de l'abstraction. Le fait que tout ne doit pas être dit. Le résultat relève de la tonalité ou de l'humeur. Peut-être un thème. Une place est dégagée à l'écart de la langue. Un mutisme très net. Mais avec un grand nombre de motifs, on perd facilement de vue un thème.
Le désordre gagne du terrain. La distance aide alors à retrouver une vue d'ensemble. Dès que la répétition du motif se confirme, le thème a réussi à s'imposer, cela crée l'obsessionnel autant que l'esprit du détachement flegmatique... Ce qu'il y a de vraiment intelligent dans la peinture de Sophie Reinhold, c'est que l'artiste part du principe et ne cesse de prouver avec son art que sa réalité ne peut être lissée, que les choses ont déjà eu lieu depuis longtemps avant de pouvoir être contraintes à une certaine forme.
Le désordre gagne du terrain. La distance aide alors à retrouver une vue d'ensemble. Dès que la répétition du motif se confirme, le thème a réussi à s'imposer, cela crée l'obsessionnel autant que l'esprit du détachement flegmatique... Ce qu'il y a de vraiment intelligent dans la peinture de Sophie Reinhold, c'est que l'artiste part du principe et ne cesse de prouver avec son art que sa réalité ne peut être lissée, que les choses ont déjà eu lieu depuis longtemps avant de pouvoir être contraintes à une certaine forme.
A propos de Bruno Brunnet