Solon. D'après "Le roman de Solon" de Martine Ruchat
Par :Formats :
- Paiement en ligne :
- Livraison à domicile ou en point Mondial Relay indisponible
- Retrait Click and Collect en magasin gratuit
- Réservation en ligne avec paiement en magasin :
- Indisponible pour réserver et payer en magasin
- Nombre de pages208
- PrésentationBroché
- FormatAlbum
- Poids0.74 kg
- Dimensions17,0 cm × 24,0 cm × 2,1 cm
- ISBN978-2-88901-173-5
- EAN9782889011735
- Date de parution08/04/2021
- CollectionTrajectoires
- ÉditeurAntipodes
- Auteur adaptéMartine Ruchat
Résumé
A travers la vie quotidienne de Marc Solon ayant véritablement existé au XIXe siècle, la bande dessinée rend compte de vues anciennes de la ville et de la région genevoise où se situe le récit et donne la parole, grâce à l'étude historique sur des sources de premières mains, à un voleur des rues de cette époque. "Les enfermements pouvaient durer des journées entières. En mai 1853, on m'a laissé dix jours au cachot.
Lors de ces longs moments d'isolement et de recueillement forcés, Vautier attendait que je regarde en moi et découvre toute la noirceur qui, selon lui, s'y trouvait. Il voulait que je voie, enfin, mon coeur de pierre et que je me repente, et pleure, unique signe, à ses yeux, de la sincérité de mes regrets. Cette satisfaction, je ne la lui ai jamais donnée. Jamais". (extraits)
Lors de ces longs moments d'isolement et de recueillement forcés, Vautier attendait que je regarde en moi et découvre toute la noirceur qui, selon lui, s'y trouvait. Il voulait que je voie, enfin, mon coeur de pierre et que je me repente, et pleure, unique signe, à ses yeux, de la sincérité de mes regrets. Cette satisfaction, je ne la lui ai jamais donnée. Jamais". (extraits)
A travers la vie quotidienne de Marc Solon ayant véritablement existé au XIXe siècle, la bande dessinée rend compte de vues anciennes de la ville et de la région genevoise où se situe le récit et donne la parole, grâce à l'étude historique sur des sources de premières mains, à un voleur des rues de cette époque. "Les enfermements pouvaient durer des journées entières. En mai 1853, on m'a laissé dix jours au cachot.
Lors de ces longs moments d'isolement et de recueillement forcés, Vautier attendait que je regarde en moi et découvre toute la noirceur qui, selon lui, s'y trouvait. Il voulait que je voie, enfin, mon coeur de pierre et que je me repente, et pleure, unique signe, à ses yeux, de la sincérité de mes regrets. Cette satisfaction, je ne la lui ai jamais donnée. Jamais". (extraits)
Lors de ces longs moments d'isolement et de recueillement forcés, Vautier attendait que je regarde en moi et découvre toute la noirceur qui, selon lui, s'y trouvait. Il voulait que je voie, enfin, mon coeur de pierre et que je me repente, et pleure, unique signe, à ses yeux, de la sincérité de mes regrets. Cette satisfaction, je ne la lui ai jamais donnée. Jamais". (extraits)