Une fois n'est pas coutume, le nouveau roman d'Olivier Norek n'est pas un polar mais un roman historique dont le sujet est un événement peu connu de la Seconde Guerre Mondiale, l'invasion de la Finlande par l'Union soviétique.
Il s'intéresse notamment à un jeune paysan, Simo, qui va devenir le sniper le plus dangereux de l'armée finlandaise, à tel point que les soldats russes le surnommeront la « Mort blanche ».
Basé sur une solide documentation, Les guerriers de l'hiver est la nouvelle pépite de l'excellent Olivier Norek.
Du haut de ses neuf ans, Javier quitte ses grands-parents, ses copains d'école et son pays d'origine, El Salvador, pour retrouver ses parents déjà...
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Du haut de ses neuf ans, Javier quitte ses grands-parents, ses copains d'école et son pays d'origine, El Salvador, pour retrouver ses parents déjà installés clandestinement aux Etats-Unis. Seul, il part pour un périple de 3000 kilomètres à travers le Guatemala, le Mexique, la mer et le désert, au bout duquel l'attendent le rêve américain et sa vie de famille tant désirée. Vécue et observée à hauteur d'enfant, cette épopée hors norme semée de nombreux dangers et épreuves est avant tout teintée d'émerveillement et d'espoir. Car Javier poursuit vaillamment son long chemin, suivant les passeurs et les autres migrants, découvrant de magnifiques couchers de soleil ou de somptueuses étendues de cactus, mais aussi le meilleur et le pire dont l'humain est capable. Devenu un phénomène mondial, Solito est un témoignage rare, poignant et universel sur le sort des migrants. L'écriture sensible de Javier Zamora, associée à son jeu avec la langue hispanique, offre une expérience de lecture singulière et particulièrement vivante.
Javier Zamora est d'origine salvadorienne et vit aux Etats-Unis depuis qu'il a traversé la frontière clandestinement, seul, à l'âge de neuf ans. Après des études à Stanford et Harvard, il est devenu poète et a publié un recueil de poésie remarqué, Unaccompanied. Solito, best-seller du New York Times depuis sa parution en 2022, a conquis des centaines de milliers de lecteurs et a fait de Zamora une figure qui porte la voix des migrants.