Socrate et Confucius. Introduction comparée aux philosophies chinoises et occidentales
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- Nombre de pages240
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.33 kg
- Dimensions15,1 cm × 21,1 cm × 2,0 cm
- ISBN978-2-200-62833-8
- EAN9782200628338
- Date de parution18/03/2020
- CollectionLa lettre et l'idée
- ÉditeurArmand Colin
Résumé
Il semble entendu de nos jours que la pensée chinoise est radicalement différente de la philosophie occidentale. fi est même proposé cette dernière de s'appuyer sur ce décalage pour mettre en cause l'évidence de ses principes et apprendre à s'orienter autrement dans la réalité. L'intention de cet essai est d'établir des rapprochements entre la tradition de pensée issue de Confucius et la philosophie occidentale d'origine grecque, principalement la philosophie socratique.
Afin de mieux saisir le développement initial du confucianisme, l'auteur traduit et commente intégralement le livre I du Mozi (le grand classique anti-confucéen), puis commente le livre I du Mengzi (critique du Mozi par Mencius—le plus grand penseur confucéen après Confucius). Cette introduction à la philosophie chinoise classique, comparée à la philosophie socratique, ouvre une perspective réjouissante : s'ils l'ont exprimée autrement, les penseurs chinois ont bien fait l'expérience du même monde que les philosophes occidentaux.
Le dialogue est donc possible — y compris sur les principes métaphysiques.
Afin de mieux saisir le développement initial du confucianisme, l'auteur traduit et commente intégralement le livre I du Mozi (le grand classique anti-confucéen), puis commente le livre I du Mengzi (critique du Mozi par Mencius—le plus grand penseur confucéen après Confucius). Cette introduction à la philosophie chinoise classique, comparée à la philosophie socratique, ouvre une perspective réjouissante : s'ils l'ont exprimée autrement, les penseurs chinois ont bien fait l'expérience du même monde que les philosophes occidentaux.
Le dialogue est donc possible — y compris sur les principes métaphysiques.
Il semble entendu de nos jours que la pensée chinoise est radicalement différente de la philosophie occidentale. fi est même proposé cette dernière de s'appuyer sur ce décalage pour mettre en cause l'évidence de ses principes et apprendre à s'orienter autrement dans la réalité. L'intention de cet essai est d'établir des rapprochements entre la tradition de pensée issue de Confucius et la philosophie occidentale d'origine grecque, principalement la philosophie socratique.
Afin de mieux saisir le développement initial du confucianisme, l'auteur traduit et commente intégralement le livre I du Mozi (le grand classique anti-confucéen), puis commente le livre I du Mengzi (critique du Mozi par Mencius—le plus grand penseur confucéen après Confucius). Cette introduction à la philosophie chinoise classique, comparée à la philosophie socratique, ouvre une perspective réjouissante : s'ils l'ont exprimée autrement, les penseurs chinois ont bien fait l'expérience du même monde que les philosophes occidentaux.
Le dialogue est donc possible — y compris sur les principes métaphysiques.
Afin de mieux saisir le développement initial du confucianisme, l'auteur traduit et commente intégralement le livre I du Mozi (le grand classique anti-confucéen), puis commente le livre I du Mengzi (critique du Mozi par Mencius—le plus grand penseur confucéen après Confucius). Cette introduction à la philosophie chinoise classique, comparée à la philosophie socratique, ouvre une perspective réjouissante : s'ils l'ont exprimée autrement, les penseurs chinois ont bien fait l'expérience du même monde que les philosophes occidentaux.
Le dialogue est donc possible — y compris sur les principes métaphysiques.








