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De Washington, Paris, Londres ou Berlin, le diable a le visage de Moscou et de Pékin. A l'opposé, la culture des guerres, des haines et de la fracture du monde porte incontestablement la signature de l'arrogance de l'Occident. Si l'homme a conquis l'espace, exploré des planètes lointaines, inventé toutes sortes de machines et d'instruments, il n'a pas, hélas, réussi à développer une intelligence appropriée, pour empêcher divers préjudices humains.
Toute l'histoire de l'humanité se résume ainsi, aux activismes des intelligences qui s'exercent en permanence à s'élever, à grandir, à triompher, à commander, à dominer et à essayer de pérenniser leur puissance. L'impression qu'on a, c'est que la proclamation des dogmes de liberté, d'égalité, de fraternité, d'amitié, de partage, d'amour, de solidarité, de compassion, de coopération et de justice n'est qu'un leurre.
Malgré ce regret, l'unité fonctionnelle du monde émerge néanmoins. La conscience collective de la relativité de la puissance des intelligences, face à certains défis majeurs, en témoigne. L'union sacrée face au réchauffement climatique le révèle, pendant que l'irruption brutale du COVID 19, avec la sale concurrence des vaccins qui en a résulté, interpelle et accuse.