Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
" Il y a de cela vingt ans, au moment de quitter ma terre natale, je fus pris d'une excitation et d'une tension où l'impatience de découvrir la France...
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Résumé
" Il y a de cela vingt ans, au moment de quitter ma terre natale, je fus pris d'une excitation et d'une tension où l'impatience de découvrir la France le disputait à l'angoisse de l'exil. J'avais une fiancée, Chilane, mais une autre jeune fille, Silikani, la joyeuse effrontée, hantait mes jours et mes nuits. Pour échapper aux dilemmes amoureux et aux appréhensions qui me submergeaient alors, la musique africaine fut l'un de mes exutoires les plus efficaces... J'ai conservé de ces instants le souvenir de rythmes cadencés et apaisants. Ils ont été de formidables digues érigées contre les torrents de l'amertume. On ne danse pas quand on est amer, on s'assoit, on gémit et on pleure. Quand on quitte la vallée des larmes, on se lève et on marche. Quand on veut se sentir pleinement heureux, on esquisse un pas de danse. Le voici ! "
Après La transmission puis La divine colère, Silikani clôt la trilogie romanesque d'Eugène Ebodé et prolonge les souvenirs d'une adolescence africaine.
À propos de l'auteur
Biographie d'Eugène Ebodé
Après La transmission puis La divine colère, Silikani clôt la trilogie romanesque d'Eugène Ebodé et prolonge les souvenirs d'une adolescence africaine.