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Prix Libr’à Nous - Littérature étrangère
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  • Nombre de pages402
  • PrésentationBroché
  • FormatPoche
  • Poids0.215 kg
  • Dimensions11,0 cm × 17,8 cm × 1,8 cm
  • ISBN978-2-264-07990-9
  • EAN9782264079909
  • Date de parution02/03/2023
  • CollectionLittérature étrangère
  • Éditeur10/18
  • TraducteurSerge Chauvin

Résumé

L'auteur de l' Arbre-Monde revient avec un roman magistral, qui questionne notre place dans l'Univers. "On y entre curieux, on en ressort bouleversé". Le Figaro Depuis la mort de sa femme, Theo Byrne, un astro-biologiste, élève seul Robin, leur enfant de neuf ans. Attachant et sensible, le jeune garçon se passionne pour les animaux qu'il peut dessiner des heures durant. Mais il est aussi sujet à des crises de rage qui laissent son père démuni.
Pour l'apaiser, ce dernier l'emmène camper dans la nature ou visiter le cosmos. Chaque soir, père et fils explorent ensemble une exoplanète et tentent de percer le mystère de l'origine de la vie. Le retour à la " réalité " est souvent brutal. Quand Robin est exclu de l'école à la suite d'une nouvelle crise, son père est mis en demeure de le faire soigner. Au mal-être et à la singularité de l'enfant, les médecins ne répondent que par la médication.
Refusant cette option, Theo se tourne vers un neurologue conduisant une thérapie expérimentale digne d'un roman de science- fiction. Par le biais de l'intelligence artificielle, Robin va s'entraîner à développer son empathie et à contrôler ses émotions. Après quelques séances, les résultats sont stupéfiants. Mettant en scène un père et son fils dans une Amérique au bord du chaos politique et climatique, Richard Powers signe un roman magistral, brillant d'intelligence et d'une rare force émotionnelle, questionnant notre place dans l'univers et nous amenant à reconsidérer nos liens avec le vivant.
" On y entre curieux, on en ressort bouleversé. " Le Figaro " Immensément romanesque, radicalement original. " Les Inrocks " Un grand roman signé par l'un des écrivains que j'admire le plus aujourd'hui. " François Busnel, La Grande Librairie " Un émouvant roman écologiste et humaniste. Une fiction où l'intelligence et l'émotion s'unissent. " Télérama " Virtuose. Le lecteur retrouvera dans Sidérations la puissance visionnaire et l'imagination " sidérante " de l'auteur de l' Arbre-Monde .
" L'Humanité " Magnifique et, bien sûr, sidérant. " Marie-Claire " Un poignant roman sur la fragilité de notre rapport au monde et l'amour paternel. Aussi brillant que touchant. " Ouest France " Un Petit prince du réchauffement climatique. " Philosophie Magazine " La gradation de l'intrigue est plus que bouleversante, et bien téméraire qui jurerait ne pas avoir versé quelques larmes. " Sud-Ouest Traduit de l'anglais (Etats-Unis) par Jean-Yves Pellegrin
L'auteur de l' Arbre-Monde revient avec un roman magistral, qui questionne notre place dans l'Univers. "On y entre curieux, on en ressort bouleversé". Le Figaro Depuis la mort de sa femme, Theo Byrne, un astro-biologiste, élève seul Robin, leur enfant de neuf ans. Attachant et sensible, le jeune garçon se passionne pour les animaux qu'il peut dessiner des heures durant. Mais il est aussi sujet à des crises de rage qui laissent son père démuni.
Pour l'apaiser, ce dernier l'emmène camper dans la nature ou visiter le cosmos. Chaque soir, père et fils explorent ensemble une exoplanète et tentent de percer le mystère de l'origine de la vie. Le retour à la " réalité " est souvent brutal. Quand Robin est exclu de l'école à la suite d'une nouvelle crise, son père est mis en demeure de le faire soigner. Au mal-être et à la singularité de l'enfant, les médecins ne répondent que par la médication.
Refusant cette option, Theo se tourne vers un neurologue conduisant une thérapie expérimentale digne d'un roman de science- fiction. Par le biais de l'intelligence artificielle, Robin va s'entraîner à développer son empathie et à contrôler ses émotions. Après quelques séances, les résultats sont stupéfiants. Mettant en scène un père et son fils dans une Amérique au bord du chaos politique et climatique, Richard Powers signe un roman magistral, brillant d'intelligence et d'une rare force émotionnelle, questionnant notre place dans l'univers et nous amenant à reconsidérer nos liens avec le vivant.
" On y entre curieux, on en ressort bouleversé. " Le Figaro " Immensément romanesque, radicalement original. " Les Inrocks " Un grand roman signé par l'un des écrivains que j'admire le plus aujourd'hui. " François Busnel, La Grande Librairie " Un émouvant roman écologiste et humaniste. Une fiction où l'intelligence et l'émotion s'unissent. " Télérama " Virtuose. Le lecteur retrouvera dans Sidérations la puissance visionnaire et l'imagination " sidérante " de l'auteur de l' Arbre-Monde .
" L'Humanité " Magnifique et, bien sûr, sidérant. " Marie-Claire " Un poignant roman sur la fragilité de notre rapport au monde et l'amour paternel. Aussi brillant que touchant. " Ouest France " Un Petit prince du réchauffement climatique. " Philosophie Magazine " La gradation de l'intrigue est plus que bouleversante, et bien téméraire qui jurerait ne pas avoir versé quelques larmes. " Sud-Ouest Traduit de l'anglais (Etats-Unis) par Jean-Yves Pellegrin

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1 Coup de cœur
de nos libraires
Yohan P.Decitre Confluence
5/5
Notre testament
Sidérations est un cri de révolte, face à l’obscurantisme et le fanatisme, un cri face au réchauffement climatique et à ses conséquences, un cri face aux ravages de l’Homme, un cri face à notre insignifiance dans l’univers. Sidérations est aussi un testament, lâché dans le temps et l’espace, destiné aux hommes et aux femmes de demain, ou bien à qui le trouvera, ceux qui se demanderont de quoi rêvaient les terriens du XXIème siècle. Leurs espoirs d’explorations spatiales, de découvertes d’une vie ailleurs que sur Terre. Et leurs nombreuses désillusions qui accompagnent cette époque fondatrice dans ce qui sera le nouveau millénaire. Un roman émouvant, parcourant l’infiniment grand jusqu’à l’infiniment petit, racontant l’histoire d’un père et de son fils extraordinaire, égarés dans un monde qui les dépasse, luttant pour sauver la planète magnifique qui a accompli le miracle de créer la vie, et cherchant des réponses au sens de l’existence, à notre rôle dans le cosmos. Et si la réponse se trouvait dans ce que nous sommes, individuellement, des univers de poche à explorer…
Sidérations est un cri de révolte, face à l’obscurantisme et le fanatisme, un cri face au réchauffement climatique et à ses conséquences, un cri face aux ravages de l’Homme, un cri face à notre insignifiance dans l’univers. Sidérations est aussi un testament, lâché dans le temps et l’espace, destiné aux hommes et aux femmes de demain, ou bien à qui le trouvera, ceux qui se demanderont de quoi rêvaient les terriens du XXIème siècle. Leurs espoirs d’explorations spatiales, de découvertes d’une vie ailleurs que sur Terre. Et leurs nombreuses désillusions qui accompagnent cette époque fondatrice dans ce qui sera le nouveau millénaire. Un roman émouvant, parcourant l’infiniment grand jusqu’à l’infiniment petit, racontant l’histoire d’un père et de son fils extraordinaire, égarés dans un monde qui les dépasse, luttant pour sauver la planète magnifique qui a accompli le miracle de créer la vie, et cherchant des réponses au sens de l’existence, à notre rôle dans le cosmos. Et si la réponse se trouvait dans ce que nous sommes, individuellement, des univers de poche à explorer…
  • littérature américaine
  • univers
  • dystopie

Avis des lecteurs
Commentaires laissés par nos lecteurs

3.7/5
sur 3 notes dont 3 avis lecteurs
Lorsque la sensiblerie devient un outil politique Woke
Au delà de l’attachement naturel que peut susciter ce roman à l’eau rouge, affection éternelle d’un père veuf pour son fils, atteint qui plus est d’une pathologie dont l’origine trouve ses sources dans la perception corrompue des vérités immuables de ce monde. Ce livre terriblement mal traduit (qui sait encore lire l’anglais honni) est du pain béni pour la sphère bien-pensante gauchiste des élites et médias gavés d’autosatisfaction et d’antitrumpisme. Ce livre n’est qu’une tumeur de plus rongeuse de notre société au bord du gouffre creusé par les fous climatiques ignares de la Science vraie et de l’Histoire Géologique de notre planète, imbibés de désinformation distillée par un petit nombre de puissants dont l’objectif unique est l’éradication de l’essentiel de ce qu’est l’humanité, au plus vite et par tous les moyens. Les commentaires alignés sur la doxa, sont autant de métastases mortifères, marqueurs de l’agonie de notre Civilisation à bout de souffle sous les coups de butoir de l’autre, imprononçable, encore primitive, avide de sang et de violences, forte de ses capacités sacrificielles face auxquelles les hordes émasculées abruties de novlangue sulfureuse dont l’épicentre est l’implacable haine de soi, et dont l’An de Grâce 732 n’a jamais rien incarné. De ces livres qui soumettent notre jeunesse lycéenne usant de leur jeune vigueur pour creuser plus vite encore notre fosse commune. De ces livres pour lesquels Fahrenheit 451 a été imaginé ! Puisse-t-il être par delà le temps, cette prophétie si improbable qui sauverait ce qui peut l’être encore de notre monde, purifié dans les braises ardentes de ces pages maudites entassées en bûcher, aux cendres évaporées au gré d’un vent nouveau venu apaiser celui des six millions d’âmes assassinées par des idées identiques puisées à la même source. Cette source de ciguë tarira. Il ne tient qu’à nous !
Au delà de l’attachement naturel que peut susciter ce roman à l’eau rouge, affection éternelle d’un père veuf pour son fils, atteint qui plus est d’une pathologie dont l’origine trouve ses sources dans la perception corrompue des vérités immuables de ce monde. Ce livre terriblement mal traduit (qui sait encore lire l’anglais honni) est du pain béni pour la sphère bien-pensante gauchiste des élites et médias gavés d’autosatisfaction et d’antitrumpisme. Ce livre n’est qu’une tumeur de plus rongeuse de notre société au bord du gouffre creusé par les fous climatiques ignares de la Science vraie et de l’Histoire Géologique de notre planète, imbibés de désinformation distillée par un petit nombre de puissants dont l’objectif unique est l’éradication de l’essentiel de ce qu’est l’humanité, au plus vite et par tous les moyens. Les commentaires alignés sur la doxa, sont autant de métastases mortifères, marqueurs de l’agonie de notre Civilisation à bout de souffle sous les coups de butoir de l’autre, imprononçable, encore primitive, avide de sang et de violences, forte de ses capacités sacrificielles face auxquelles les hordes émasculées abruties de novlangue sulfureuse dont l’épicentre est l’implacable haine de soi, et dont l’An de Grâce 732 n’a jamais rien incarné. De ces livres qui soumettent notre jeunesse lycéenne usant de leur jeune vigueur pour creuser plus vite encore notre fosse commune. De ces livres pour lesquels Fahrenheit 451 a été imaginé ! Puisse-t-il être par delà le temps, cette prophétie si improbable qui sauverait ce qui peut l’être encore de notre monde, purifié dans les braises ardentes de ces pages maudites entassées en bûcher, aux cendres évaporées au gré d’un vent nouveau venu apaiser celui des six millions d’âmes assassinées par des idées identiques puisées à la même source. Cette source de ciguë tarira. Il ne tient qu’à nous !
  • Wokisme Climate Scam Antitrumpisme
Je ne ferai plus de cairn...
Si on se trouve dans la lignée thématique de "L'arbre monde", le roman est plus intimiste avec la relation père-fils, le père veuf, le fils "dans le spectre" et antispéciste. Mais il nous envoie aussi dans l'univers lointain à travers le personnage du père, astrobiologiste à la recherche de trace de vie sur une autre planète. Et n'oublions pas le côté dystopie qui paracheve cet excellent roman.
Si on se trouve dans la lignée thématique de "L'arbre monde", le roman est plus intimiste avec la relation père-fils, le père veuf, le fils "dans le spectre" et antispéciste. Mais il nous envoie aussi dans l'univers lointain à travers le personnage du père, astrobiologiste à la recherche de trace de vie sur une autre planète. Et n'oublions pas le côté dystopie qui paracheve cet excellent roman.
Entre tendresse et écologie
En filigrane de ce récit père-fils infiniment touchant, le monde se désagrège, flambe à cause des inepties trumpiennes et humaines. Les éléments dystopiques forment un cadre discret à ce roman tant écologique qu’humaniste, à cette tendre relation filiale. L’auteur raconte surtout l’homme et son enfant, la nature qui meurt et face à laquelle nous devrions être sidérés, choqués par sa beauté première et primale, sa diversité, sa grandeur et notre petitesse (plus de détails : https://pamolico.wordpress.com/2021/09/22/siderations-richard-powers/)
En filigrane de ce récit père-fils infiniment touchant, le monde se désagrège, flambe à cause des inepties trumpiennes et humaines. Les éléments dystopiques forment un cadre discret à ce roman tant écologique qu’humaniste, à cette tendre relation filiale. L’auteur raconte surtout l’homme et son enfant, la nature qui meurt et face à laquelle nous devrions être sidérés, choqués par sa beauté première et primale, sa diversité, sa grandeur et notre petitesse (plus de détails : https://pamolico.wordpress.com/2021/09/22/siderations-richard-powers/)
Sidérations
5/5
3.7/5
Richard Powers
E-book
16,99 €
Un jeu sans fin
4.7/5
Richard Powers
Grand Format
23,80 €
Un jeu sans fin
4.7/5
Richard Powers
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L'arbre-monde
5/5
Richard Powers
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Playground
Richard Powers
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Opération âme errante
Richard Powers
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14,99 €
The Overstory
Richard Powers
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The Overstory
Richard Powers
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Sidérations
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Richard Powers
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24,00 €
L'arbre-monde
5/5
Richard Powers
Grand Format
23,50 €