Sidérations. Une sociologie des attentats
Par :Formats :
- Réservation en ligne avec paiement en magasin :
- Indisponible pour réserver et payer en magasin
- Nombre de pages343
- PrésentationBroché
- Poids0.435 kg
- Dimensions15,0 cm × 21,7 cm × 1,7 cm
- ISBN978-2-13-073303-4
- EAN9782130733034
- Date de parution06/01/2016
- CollectionLe lien social
- ÉditeurPUF
Résumé
A quoi renvoie notre sidération face aux tueries perpétrées dans Paris le 13 novembre 2015 ? Comment expliquer l'ampleur de la réaction aux attentats de Charlie Hebdo et de l'Hyper Cacher ? Poser ces questions, c'est chercher à comprendre ce que vit une société lorsqu'elle se trouve mise à l'épreuve d'attaques terroristes. C'est tenter d'élucider ce qui fait que des millions de personnes se sentent concernées par ce qui arrive bien qu'elles n'aient de lien direct avec aucune des victimes.
En sociologue, Gérôme Truc éclaire ces récents événements en revenant sur la façon dont les individus ordinaires que nous sommes ont vécu et ont répondu aux attentats du 11-Septembre, du 11 mars 2004 à Madrid et du 7 juillet 2005 à Londres. Analysant les discours politiques et les images médiatiques, les manifestations de solidarité et les minutes de silence, ainsi que des dizaines de milliers de messages adressés aux victimes, son enquête révèle toute l'ambivalence de notre rapport aux attentats islamistes.
Et met au jour les ressorts de cette solidarité qui, dans nos sociétés individualistes, finit par se dire à la première personne du singulier plutôt que du pluriel : "Je suis Charlie", "Je suis Paris".
En sociologue, Gérôme Truc éclaire ces récents événements en revenant sur la façon dont les individus ordinaires que nous sommes ont vécu et ont répondu aux attentats du 11-Septembre, du 11 mars 2004 à Madrid et du 7 juillet 2005 à Londres. Analysant les discours politiques et les images médiatiques, les manifestations de solidarité et les minutes de silence, ainsi que des dizaines de milliers de messages adressés aux victimes, son enquête révèle toute l'ambivalence de notre rapport aux attentats islamistes.
Et met au jour les ressorts de cette solidarité qui, dans nos sociétés individualistes, finit par se dire à la première personne du singulier plutôt que du pluriel : "Je suis Charlie", "Je suis Paris".
A quoi renvoie notre sidération face aux tueries perpétrées dans Paris le 13 novembre 2015 ? Comment expliquer l'ampleur de la réaction aux attentats de Charlie Hebdo et de l'Hyper Cacher ? Poser ces questions, c'est chercher à comprendre ce que vit une société lorsqu'elle se trouve mise à l'épreuve d'attaques terroristes. C'est tenter d'élucider ce qui fait que des millions de personnes se sentent concernées par ce qui arrive bien qu'elles n'aient de lien direct avec aucune des victimes.
En sociologue, Gérôme Truc éclaire ces récents événements en revenant sur la façon dont les individus ordinaires que nous sommes ont vécu et ont répondu aux attentats du 11-Septembre, du 11 mars 2004 à Madrid et du 7 juillet 2005 à Londres. Analysant les discours politiques et les images médiatiques, les manifestations de solidarité et les minutes de silence, ainsi que des dizaines de milliers de messages adressés aux victimes, son enquête révèle toute l'ambivalence de notre rapport aux attentats islamistes.
Et met au jour les ressorts de cette solidarité qui, dans nos sociétés individualistes, finit par se dire à la première personne du singulier plutôt que du pluriel : "Je suis Charlie", "Je suis Paris".
En sociologue, Gérôme Truc éclaire ces récents événements en revenant sur la façon dont les individus ordinaires que nous sommes ont vécu et ont répondu aux attentats du 11-Septembre, du 11 mars 2004 à Madrid et du 7 juillet 2005 à Londres. Analysant les discours politiques et les images médiatiques, les manifestations de solidarité et les minutes de silence, ainsi que des dizaines de milliers de messages adressés aux victimes, son enquête révèle toute l'ambivalence de notre rapport aux attentats islamistes.
Et met au jour les ressorts de cette solidarité qui, dans nos sociétés individualistes, finit par se dire à la première personne du singulier plutôt que du pluriel : "Je suis Charlie", "Je suis Paris".