Shakespeare et le désordre du monde
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- Nombre de pages461
- PrésentationBroché
- Poids0.562 kg
- Dimensions14,2 cm × 23,0 cm × 3,2 cm
- ISBN978-2-07-013889-0
- EAN9782070138890
- Date de parution04/10/2012
- CollectionBibliothèque des idées
- ÉditeurGallimard
- PréfacierElise Marienstras
- Directeur de publicationDominique Goy-Blanquet
Résumé
« Et ce qui stupéfie comme un comble de l’art, écrit Richard Marienstras, c’est que Shakespeare
semble avoir voulu suggérer tout à la fois que la violence appartient à l’ordre même des choses, qu’il est possible de la dépasser, et que ce dépassement n’a qu’un caractère fragile ou illusoire. L’ordre n’est pas dans la nature, il n’est pas non plus dans l’homme, il est impossible dans le cadre de la réalité.
Il n’existe que comme un mirage, analogue à ces figures du masque qu’un mouvement de colère suffit à faire disparaître. L’ordre est un effet de l’art, qui s’oppose à la vérité du monde et qui la révèle ». Commencé du vivant de Richard Marienstras, ce projet de recueil d’essais a été poursuivi après sa disparition, en février 2011, par Élise Marienstras, sa veuve, et Dominique Goy-Blanquet, son ancienne élève et collègue, qui l’a mené à son terme et lui a donné sa cohérence et son unité. Augmenté de nombreux textes inédits ou inachevés (thèse, conférences, séminaires, notes de cours, etc.), le projet prit la forme d’un puzzle dont les pièces, une fois rapprochées, dessinent une image vivante et forte non seulement de la pensée politique de Shakespeare, mais de la philosophie politique de Richard Marienstras lui-même.
Il n’existe que comme un mirage, analogue à ces figures du masque qu’un mouvement de colère suffit à faire disparaître. L’ordre est un effet de l’art, qui s’oppose à la vérité du monde et qui la révèle ». Commencé du vivant de Richard Marienstras, ce projet de recueil d’essais a été poursuivi après sa disparition, en février 2011, par Élise Marienstras, sa veuve, et Dominique Goy-Blanquet, son ancienne élève et collègue, qui l’a mené à son terme et lui a donné sa cohérence et son unité. Augmenté de nombreux textes inédits ou inachevés (thèse, conférences, séminaires, notes de cours, etc.), le projet prit la forme d’un puzzle dont les pièces, une fois rapprochées, dessinent une image vivante et forte non seulement de la pensée politique de Shakespeare, mais de la philosophie politique de Richard Marienstras lui-même.
« Et ce qui stupéfie comme un comble de l’art, écrit Richard Marienstras, c’est que Shakespeare
semble avoir voulu suggérer tout à la fois que la violence appartient à l’ordre même des choses, qu’il est possible de la dépasser, et que ce dépassement n’a qu’un caractère fragile ou illusoire. L’ordre n’est pas dans la nature, il n’est pas non plus dans l’homme, il est impossible dans le cadre de la réalité.
Il n’existe que comme un mirage, analogue à ces figures du masque qu’un mouvement de colère suffit à faire disparaître. L’ordre est un effet de l’art, qui s’oppose à la vérité du monde et qui la révèle ». Commencé du vivant de Richard Marienstras, ce projet de recueil d’essais a été poursuivi après sa disparition, en février 2011, par Élise Marienstras, sa veuve, et Dominique Goy-Blanquet, son ancienne élève et collègue, qui l’a mené à son terme et lui a donné sa cohérence et son unité. Augmenté de nombreux textes inédits ou inachevés (thèse, conférences, séminaires, notes de cours, etc.), le projet prit la forme d’un puzzle dont les pièces, une fois rapprochées, dessinent une image vivante et forte non seulement de la pensée politique de Shakespeare, mais de la philosophie politique de Richard Marienstras lui-même.
Il n’existe que comme un mirage, analogue à ces figures du masque qu’un mouvement de colère suffit à faire disparaître. L’ordre est un effet de l’art, qui s’oppose à la vérité du monde et qui la révèle ». Commencé du vivant de Richard Marienstras, ce projet de recueil d’essais a été poursuivi après sa disparition, en février 2011, par Élise Marienstras, sa veuve, et Dominique Goy-Blanquet, son ancienne élève et collègue, qui l’a mené à son terme et lui a donné sa cohérence et son unité. Augmenté de nombreux textes inédits ou inachevés (thèse, conférences, séminaires, notes de cours, etc.), le projet prit la forme d’un puzzle dont les pièces, une fois rapprochées, dessinent une image vivante et forte non seulement de la pensée politique de Shakespeare, mais de la philosophie politique de Richard Marienstras lui-même.









