Sfar, c'est arabe ?

Par : Joann Sfar
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  • Nombre de pages350
  • PrésentationBroché
  • FormatAlbum
  • Poids0.638 kg
  • Dimensions16,1 cm × 23,0 cm × 3,0 cm
  • ISBN978-2-501-11477-6
  • EAN9782501114776
  • Date de parution10/10/2018
  • ÉditeurMarabout

Résumé

Le nouveau carnet de Joann Sfar couvre la période de juillet 2015 à juillet 2017. Il mêle texte et dessins pour réagir à l'actualité politique, sociale et culturelle. Lors de cette période riche en événements, Sfar prend son lecteur à partie comme une invitation à la réflexion et à la polémique. Il évoque les attentats commis sur le territoire français et européen, les élections présidentielles, la montée de Marion Maréchal, le fanatisme religieux en France, le conflit israélo-palestinien, les réfugiés, le racisme, son désir de laïcité.
Il dissèque avec humour et discernement les stratégies politiques, des uns et des autres, sans angélisme. Il s'amuse à analyser les éléments de langage, utilisés par les politiques et les journalistes. Joann Sfar laisse libre cours à sa créativité pour commenter et argumenter, le ton est tour-à-tour, badin, enflammé, angoissé ou moqueur. Il s'insurge contre les institutions, décrypte les événements culturels et partage son goût pour le cinéma.
Sfar évoque avec tendresse Charb, Cabu, son grand-père cinéphile ; invoque Platon, philosophe cher à ses yeux. Il invite dans ces écrits, ses auteurs fétiches : Romain Gary, Umberto Ecco, Camus, Moebius... tout en faisant allusion à ses fidèles amis : Riad Sattouff, Christophe Blain et Mathieu Sapin. Sfar c'est arabe ? résonne comme une voix pour dénoncer la haine.
Le nouveau carnet de Joann Sfar couvre la période de juillet 2015 à juillet 2017. Il mêle texte et dessins pour réagir à l'actualité politique, sociale et culturelle. Lors de cette période riche en événements, Sfar prend son lecteur à partie comme une invitation à la réflexion et à la polémique. Il évoque les attentats commis sur le territoire français et européen, les élections présidentielles, la montée de Marion Maréchal, le fanatisme religieux en France, le conflit israélo-palestinien, les réfugiés, le racisme, son désir de laïcité.
Il dissèque avec humour et discernement les stratégies politiques, des uns et des autres, sans angélisme. Il s'amuse à analyser les éléments de langage, utilisés par les politiques et les journalistes. Joann Sfar laisse libre cours à sa créativité pour commenter et argumenter, le ton est tour-à-tour, badin, enflammé, angoissé ou moqueur. Il s'insurge contre les institutions, décrypte les événements culturels et partage son goût pour le cinéma.
Sfar évoque avec tendresse Charb, Cabu, son grand-père cinéphile ; invoque Platon, philosophe cher à ses yeux. Il invite dans ces écrits, ses auteurs fétiches : Romain Gary, Umberto Ecco, Camus, Moebius... tout en faisant allusion à ses fidèles amis : Riad Sattouff, Christophe Blain et Mathieu Sapin. Sfar c'est arabe ? résonne comme une voix pour dénoncer la haine.
Joann Sfar
Joann Sfar naît le 28 août 1971 à Nice, dans une famille moitié séfarade moitié ashkénaze, où on lui raconte toutes sortes de mythes et d'histoires. Dès qu'il sait par quel bout tenir un crayon, il se met à dessiner. Vers quinze ans, il commence à expédier aux éditeurs un projet de BD par mois, qu'on lui refuse au même rythme. C'est aussi vers cet âge qu'il rencontre ses "mentors", Fred, Baudoin et Pierre Dubois (le modèle du Minuscule Mousquetaire). "Ils m'ont mis dans la tête des trucs sains. Tout ce que je fais, c'est pour leur plaire". Au début des années 80, armé d'une maîtrise de philo mention TB obtenue pour faire plaisir à son père, il entre aux Beaux-Arts à Paris, où il suit les cours du département de morphologie et dessine des natures mortes vraiment très mortes, comme les enfants à deux têtes et autres monstres de la collection de Geoffroy Saint-Hilaire, au Museum d'histoire naturelle. Il assiste même à des autopsies avec un copain légiste et dessine toutes sortes de boyaux. Ce qu'il tire finalement de cette expérience, c'est le plaisir de dessiner un être vivant, habillé, qui marche dans la rue. A 23 ans, surprise. Le même mois, Dargaud, Delcourt et l'Association répondent favorablement à ses envois. Depuis, il n'arrête plus. "La BD est quelque chose de compulsif, on doit en faire beaucoup. Et comme disait Charlier, c'est plus facile de mener dix histoires de front qu'une seule." D'où un foisonnement d'univers dont la cohérence est assurée par un cocktail très personnel de sentiment, d'humour et d'intelligence — sans oublier un charme graphique à tomber par terre.
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