Seuls sous les pins
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- Nombre de pages96
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.701 kg
- Dimensions21,0 cm × 29,7 cm × 0,0 cm
- ISBN978-2-9579380-1-8
- EAN9782957938018
- Date de parution02/01/2023
- ÉditeurEditions Beldura
Résumé
Cent ans après sa mort, Félix Arnaudin éclipse encore par son oeuvre colossale quiconque entreprend un travail artistique ou scientifique sur les Landes de Gascogne. Toutefois, il ne faut pas oublier que derrière beaucoup de ses créations se dissimule une succession de mises en scène sauvegardant une vision des Landes qu'il voulait éternelle mais qui était déjà en train de disparaître. De fait, lui qui effaçait les pins de ses photographies a ignoré - ou presque - l'industrie inhérente à leur exploitation.
Cette industrie, nos anciens et nos parents, eux, l'ont vécue. Nous, nous en observons l'âpre déclin. Si contrairement à Arnaudin nous chérissons cette forêt devenue aujourd'hui constituante de notre identité, comme lui nous assistons impuissants au bouleversement de notre société. Alors comme lui, nous avons parcouru cet espace avec nos appareils et nos carnets. Comme lui, nous avons voulu en dresser un instantané contemporain, ancré dans notre réalité.
Cette industrie, nos anciens et nos parents, eux, l'ont vécue. Nous, nous en observons l'âpre déclin. Si contrairement à Arnaudin nous chérissons cette forêt devenue aujourd'hui constituante de notre identité, comme lui nous assistons impuissants au bouleversement de notre société. Alors comme lui, nous avons parcouru cet espace avec nos appareils et nos carnets. Comme lui, nous avons voulu en dresser un instantané contemporain, ancré dans notre réalité.
Cent ans après sa mort, Félix Arnaudin éclipse encore par son oeuvre colossale quiconque entreprend un travail artistique ou scientifique sur les Landes de Gascogne. Toutefois, il ne faut pas oublier que derrière beaucoup de ses créations se dissimule une succession de mises en scène sauvegardant une vision des Landes qu'il voulait éternelle mais qui était déjà en train de disparaître. De fait, lui qui effaçait les pins de ses photographies a ignoré - ou presque - l'industrie inhérente à leur exploitation.
Cette industrie, nos anciens et nos parents, eux, l'ont vécue. Nous, nous en observons l'âpre déclin. Si contrairement à Arnaudin nous chérissons cette forêt devenue aujourd'hui constituante de notre identité, comme lui nous assistons impuissants au bouleversement de notre société. Alors comme lui, nous avons parcouru cet espace avec nos appareils et nos carnets. Comme lui, nous avons voulu en dresser un instantané contemporain, ancré dans notre réalité.
Cette industrie, nos anciens et nos parents, eux, l'ont vécue. Nous, nous en observons l'âpre déclin. Si contrairement à Arnaudin nous chérissons cette forêt devenue aujourd'hui constituante de notre identité, comme lui nous assistons impuissants au bouleversement de notre société. Alors comme lui, nous avons parcouru cet espace avec nos appareils et nos carnets. Comme lui, nous avons voulu en dresser un instantané contemporain, ancré dans notre réalité.