Seuls les vivants meurent

Par : Patrick Renou
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  • Nombre de pages159
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.265 kg
  • Dimensions14,0 cm × 19,0 cm × 1,4 cm
  • ISBN978-2-86853-503-0
  • EAN9782868535030
  • Date de parution25/09/2008
  • ÉditeurTemps qu'il fait (Le)
  • PréfacierAndré Comte-Sponville

Résumé

Vingt histoires de mortels, comme auraient dit les Grecs : vingt histoires de femmes et d'hommes, de tous âges, de tous milieux, de tous pays, de toutes époques, sous la lumière très douce ou très violente de la mort. Avec, après chacun de ces textes, avant celui qui suit, une autre histoire, toujours la même, toujours recommencée, entre deux personnages d'aujourd'hui, un homme, une femme, comme un roman par lettres - ce sont des lettres d'amour, ce sont des lettres d'adieu - à celle qui est partie dans le ciel d' Osaka, il y a quelques jours, et qui n'est pas revenue, et qui ne reviendra pas... Cela fait comme une basse continue, qui assure l'unité de l'ensemble, si savamment construit, qui le justifie, par sa fin, jusqu'à en faire un roman véritable, dont on ne sait plus, dans les dernières pages, si celui qui écrit ces lettres est l'auteur ou le personnage, qui aurait tressé ces morts ( réelles ? imaginaires ? ) pour les offrir, comme un bouquet, comme un tombeau, à l'absente définitive, tellement vivante, tellement aimée, tellement irremplaçable, et qui vient de mourir, comme tous les autres, et qu'aucune tombe jamais ne pourra contenir...
Vingt histoires de mortels, comme auraient dit les Grecs : vingt histoires de femmes et d'hommes, de tous âges, de tous milieux, de tous pays, de toutes époques, sous la lumière très douce ou très violente de la mort. Avec, après chacun de ces textes, avant celui qui suit, une autre histoire, toujours la même, toujours recommencée, entre deux personnages d'aujourd'hui, un homme, une femme, comme un roman par lettres - ce sont des lettres d'amour, ce sont des lettres d'adieu - à celle qui est partie dans le ciel d' Osaka, il y a quelques jours, et qui n'est pas revenue, et qui ne reviendra pas... Cela fait comme une basse continue, qui assure l'unité de l'ensemble, si savamment construit, qui le justifie, par sa fin, jusqu'à en faire un roman véritable, dont on ne sait plus, dans les dernières pages, si celui qui écrit ces lettres est l'auteur ou le personnage, qui aurait tressé ces morts ( réelles ? imaginaires ? ) pour les offrir, comme un bouquet, comme un tombeau, à l'absente définitive, tellement vivante, tellement aimée, tellement irremplaçable, et qui vient de mourir, comme tous les autres, et qu'aucune tombe jamais ne pourra contenir...