Séoul, playstation mélancolique

Par : Jean-Louis Poitevin

Disponible d'occasion :

  • Paiement en ligne :
    • Livraison à domicile ou en point Mondial Relay indisponible
    • Retrait Click and Collect en magasin gratuit
  • Réservation en ligne avec paiement en magasin :
    • Indisponible pour réserver et payer en magasin
  • Nombre de pages233
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.265 kg
  • Dimensions12,0 cm × 17,0 cm × 1,5 cm
  • ISBN979-10-91555-31-9
  • EAN9791091555319
  • Date de parution25/10/2016
  • CollectionLittératures
  • ÉditeurAtelier des cahiers

Résumé

" Je marche, je regarde, j'entends, j'absorbe. Mon corps absorbe. Mon cerveau absorbe. Je laisse s'épanouir en moi ces milliers de fleurs urbaines et sauvages qui exp4sent à chaque endroit, néons en plein jour, écrans aux dimensions de cataracte déversant leurs millions de litres de pixels sur des passants apparemment indifférents... C'est à partir de cet instant que la ville commença de glisser, carte mentale incertaine, sur la carte de ce monde enfoui et que les lignes brisées de mes vies non vécues sont venues épouser de leurs tangentes inchoatives le dédale imprécis des rues de Séoul.
" Un photographe de presse, habitué des zones de guerre, est invité à venir en Corée pour réaliser une série de photos de mode. Malgré lui, il va être entraîné dans une aventure qui le conduit à tenter de récupérer des oeuvres d'art volées. Mais c'est la ville, Séoul, qui le happe ...
" Je marche, je regarde, j'entends, j'absorbe. Mon corps absorbe. Mon cerveau absorbe. Je laisse s'épanouir en moi ces milliers de fleurs urbaines et sauvages qui exp4sent à chaque endroit, néons en plein jour, écrans aux dimensions de cataracte déversant leurs millions de litres de pixels sur des passants apparemment indifférents... C'est à partir de cet instant que la ville commença de glisser, carte mentale incertaine, sur la carte de ce monde enfoui et que les lignes brisées de mes vies non vécues sont venues épouser de leurs tangentes inchoatives le dédale imprécis des rues de Séoul.
" Un photographe de presse, habitué des zones de guerre, est invité à venir en Corée pour réaliser une série de photos de mode. Malgré lui, il va être entraîné dans une aventure qui le conduit à tenter de récupérer des oeuvres d'art volées. Mais c'est la ville, Séoul, qui le happe ...

Avis des lecteurs
Commentaires laissés par nos lecteurs

5/5
sur 1 note dont 1 avis lecteur
Séoul, Playstation mélancolique
Le narrateur est un photographe d'une quarantaine d'années, qui a fait plusieurs théâtres d'opérations et revient du dernier brisé. Il est alors envoyé à Séoul pour un contrat "facile", photographier des mannequins pour une grande marque. Il se retrouve alors à Busan, dans un monde aseptisé où l'artiste est pris en charge par des grandes compagnies, où on lui offre un appareil photo à la point, et une jeune fille pour lui faire visiter Busan. Il se retrouve alors dans le "plus grand centre commercial du monde", face à une exposition d'art contemporain où il reconnait des estampes volées. Estampes qu'il va alors poursuivre à Séoul, contre l'avis de la présidente du groupe qui détient les oeuvres d'art, au mépris de l'effroi qu'inspirent ces grands groupes aux coréens... Livre très intéressant pour redécouvrir Séoul. La ville y est décrite par ses quarties cosmopolites, par les yeux d'un photographe qui s'intéresse plus à ce que la ville cache par ce qu'elle montre. L'écriture de Jean-Louis Poitevin sert parfaitement ce point de vue un peu déstructuré d'un photographe qui se cherche dans les rues du plus grand labyrinthe de Corée.
Le narrateur est un photographe d'une quarantaine d'années, qui a fait plusieurs théâtres d'opérations et revient du dernier brisé. Il est alors envoyé à Séoul pour un contrat "facile", photographier des mannequins pour une grande marque. Il se retrouve alors à Busan, dans un monde aseptisé où l'artiste est pris en charge par des grandes compagnies, où on lui offre un appareil photo à la point, et une jeune fille pour lui faire visiter Busan. Il se retrouve alors dans le "plus grand centre commercial du monde", face à une exposition d'art contemporain où il reconnait des estampes volées. Estampes qu'il va alors poursuivre à Séoul, contre l'avis de la présidente du groupe qui détient les oeuvres d'art, au mépris de l'effroi qu'inspirent ces grands groupes aux coréens... Livre très intéressant pour redécouvrir Séoul. La ville y est décrite par ses quarties cosmopolites, par les yeux d'un photographe qui s'intéresse plus à ce que la ville cache par ce qu'elle montre. L'écriture de Jean-Louis Poitevin sert parfaitement ce point de vue un peu déstructuré d'un photographe qui se cherche dans les rues du plus grand labyrinthe de Corée.
LiFang
Maël Bellec, Jean-Louis Poitevin, Selina Ting, Marjorie Keters
Beau Livre
35,00 €
Werner Lambersy
Paul Mathieu, Jean-Louis Poitevin, Otto Ganz
20,00 €