Sénégal : histoire du mouvement syndical. La marche vers le Code du travail
Par :Formats :
- Paiement en ligne :
- Livraison à domicile ou en point Mondial Relay indisponible
- Retrait Click and Collect en magasin gratuit
- Réservation en ligne avec paiement en magasin :
- Indisponible pour réserver et payer en magasin
- Nombre de pages385
- PrésentationBroché
- Poids0.625 kg
- Dimensions16,0 cm × 24,0 cm × 2,2 cm
- ISBN978-2-296-54887-9
- EAN9782296548879
- Date de parution01/11/2011
- CollectionEtudes africaines
- ÉditeurL'Harmattan
- PréfacierIba Der Thiam
- PostfacierFrederick Cooper
Résumé
Différentes étapes ont marqué la bataille pour le vote du Code
du travail et l'obtention d'une législation pour les travailleurs
de la France coloniale. Cette bataille a mobilisé aussi bien au
Sénégal que dans le reste de l'Afrique française et des autres
territoires français d'outre-mer. Le mouvement syndical mena
à cet effet une action d'avant-garde dans la prise de conscience
qui aboutit à des réformes telles que l'abolition du travail
forcé, la suppression du régime de l'indigénat et l'octroi de la
citoyenneté ; autant de mesures intervenues parmi les
mutations de la nouvelle Union française qui succéda à
l'Empire.
Ainsi, par des actions d'envergure dans l'après- guerre, notamment des grèves cycliques et généralisées, le syndicalisme s'imposa comme un contre-pouvoir face au colonialisme. Les discussions entre les travailleurs, le patronat et l'Inspection du travail qui s'étendirent aux élus politiques et se poursuivirent dans les différentes assemblées législatives, aboutirent au vote du Code du travail en 1952.
Cette longue bataille fut donc un événement syndical, et surtout politique, qui consacra une profonde évolution sociale, voire une prise de conscience nationaliste. Tel est la problématique centrale du livre de Omar Guèye qui lève le voile sur un grand pan de l'histoire syndicale, mais aussi politique et sociale, de AOF.
Ainsi, par des actions d'envergure dans l'après- guerre, notamment des grèves cycliques et généralisées, le syndicalisme s'imposa comme un contre-pouvoir face au colonialisme. Les discussions entre les travailleurs, le patronat et l'Inspection du travail qui s'étendirent aux élus politiques et se poursuivirent dans les différentes assemblées législatives, aboutirent au vote du Code du travail en 1952.
Cette longue bataille fut donc un événement syndical, et surtout politique, qui consacra une profonde évolution sociale, voire une prise de conscience nationaliste. Tel est la problématique centrale du livre de Omar Guèye qui lève le voile sur un grand pan de l'histoire syndicale, mais aussi politique et sociale, de AOF.
Différentes étapes ont marqué la bataille pour le vote du Code
du travail et l'obtention d'une législation pour les travailleurs
de la France coloniale. Cette bataille a mobilisé aussi bien au
Sénégal que dans le reste de l'Afrique française et des autres
territoires français d'outre-mer. Le mouvement syndical mena
à cet effet une action d'avant-garde dans la prise de conscience
qui aboutit à des réformes telles que l'abolition du travail
forcé, la suppression du régime de l'indigénat et l'octroi de la
citoyenneté ; autant de mesures intervenues parmi les
mutations de la nouvelle Union française qui succéda à
l'Empire.
Ainsi, par des actions d'envergure dans l'après- guerre, notamment des grèves cycliques et généralisées, le syndicalisme s'imposa comme un contre-pouvoir face au colonialisme. Les discussions entre les travailleurs, le patronat et l'Inspection du travail qui s'étendirent aux élus politiques et se poursuivirent dans les différentes assemblées législatives, aboutirent au vote du Code du travail en 1952.
Cette longue bataille fut donc un événement syndical, et surtout politique, qui consacra une profonde évolution sociale, voire une prise de conscience nationaliste. Tel est la problématique centrale du livre de Omar Guèye qui lève le voile sur un grand pan de l'histoire syndicale, mais aussi politique et sociale, de AOF.
Ainsi, par des actions d'envergure dans l'après- guerre, notamment des grèves cycliques et généralisées, le syndicalisme s'imposa comme un contre-pouvoir face au colonialisme. Les discussions entre les travailleurs, le patronat et l'Inspection du travail qui s'étendirent aux élus politiques et se poursuivirent dans les différentes assemblées législatives, aboutirent au vote du Code du travail en 1952.
Cette longue bataille fut donc un événement syndical, et surtout politique, qui consacra une profonde évolution sociale, voire une prise de conscience nationaliste. Tel est la problématique centrale du livre de Omar Guèye qui lève le voile sur un grand pan de l'histoire syndicale, mais aussi politique et sociale, de AOF.