Science-fiction et science juridique. Actes du colloque organisé par l'association RERDH les 13 et 14 octobre 2011 à la Faculté de droit et des sciences économiques de Limoges

Par : Pierre-Jérôme Delage
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  • Nombre de pages390
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.475 kg
  • Dimensions13,7 cm × 21,4 cm × 1,8 cm
  • ISBN978-2-919211-18-0
  • EAN9782919211180
  • Date de parution01/06/2013
  • CollectionLes voies du droit
  • ÉditeurIRJS Editions
  • AuteurJulie Alix
  • AuteurLaurence Brunet
  • AuteurFlorence Burgat

Résumé

Le code pénal interdit le clonage reproductif humain, celui de la santé publique prohibe la création d'embryons transgéniques ou chimériques ; le juge administratif refuse la conservation par cryogénisation du corps mort ; à la période où se multiplient les législations sécuritaires, d'aucuns entendent parvenir à détecter par ordinateur les pensées hostiles, prévoir les infractions par infirrmatique, anticiper le crime et le criminel ; aux Etats-Unis ou en France, et sous l'impulsion des progrès de la robotique et de l'intelligence artificielle, des universitaires commencent à réfléchir au statut juridique des robots ; des textes, nationaux ou internationaux, définissent le terraformage, déclarent la Lune et les autres corps célestes relever du patrimoine commun de l'Humanité.
En tous ces lieux énumérés (comme également en d'autres, que le lecteur pourra découvrir au fil de l'ouvrage), le constat s'évince que le droit peut entrer en coïncidence avec l'imaginaire de l'anticipation scientifique : celui d'Aldous Huxley ; Isaac Asimov ; George Orwell, Herbert G. Wells ou encore Philip K. Dick. C'est exactement à la rencontre de ces deux univers que fut consacré le colloque Science-fiction et science juridique, organisé en octobre 2011 à l'Université de Limoges par l'association RERDH, et dont les actes sont ici recueillis.
Une vingtaine d'auteurs (doctorants ou docteurs en droit, maîtres de conférences et professeurs) a accepté de se prêter au jeu – le jeu n'excluant pas le sérieux – de cette interaction, dont la réunion des textes forme une somme originale et inédite.
Le code pénal interdit le clonage reproductif humain, celui de la santé publique prohibe la création d'embryons transgéniques ou chimériques ; le juge administratif refuse la conservation par cryogénisation du corps mort ; à la période où se multiplient les législations sécuritaires, d'aucuns entendent parvenir à détecter par ordinateur les pensées hostiles, prévoir les infractions par infirrmatique, anticiper le crime et le criminel ; aux Etats-Unis ou en France, et sous l'impulsion des progrès de la robotique et de l'intelligence artificielle, des universitaires commencent à réfléchir au statut juridique des robots ; des textes, nationaux ou internationaux, définissent le terraformage, déclarent la Lune et les autres corps célestes relever du patrimoine commun de l'Humanité.
En tous ces lieux énumérés (comme également en d'autres, que le lecteur pourra découvrir au fil de l'ouvrage), le constat s'évince que le droit peut entrer en coïncidence avec l'imaginaire de l'anticipation scientifique : celui d'Aldous Huxley ; Isaac Asimov ; George Orwell, Herbert G. Wells ou encore Philip K. Dick. C'est exactement à la rencontre de ces deux univers que fut consacré le colloque Science-fiction et science juridique, organisé en octobre 2011 à l'Université de Limoges par l'association RERDH, et dont les actes sont ici recueillis.
Une vingtaine d'auteurs (doctorants ou docteurs en droit, maîtres de conférences et professeurs) a accepté de se prêter au jeu – le jeu n'excluant pas le sérieux – de cette interaction, dont la réunion des textes forme une somme originale et inédite.