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Schelling - Une philosophie en devenir. Tome 1, Le système vivant
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- Nombre de pages1212
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids1.3 kg
- Dimensions13,5 cm × 21,5 cm × 7,4 cm
- ISBN2-7116-1124-8
- EAN9782711611249
- Date de parution01/10/1992
- CollectionHistoire de la philosophie
- ÉditeurVrin
Résumé
F. W. J. Schelling (1775-1854), le plus précoce de philosophes puis l'un des plus âgés, a pâti, de son vivant comme après sa mort, de la proximité de Fichte et surtout de Hegel qui l'a supplanté dans le jugement de la postérité. Mais il est en passe de combler son retard grâce en particulier à l'impulsion donnée depuis un demi-siècle aux recherches sur l'idéalisme allemand. Le premier volume de cet ouvrage se propose de présenter le devenir de Schelling sous le signe du " système vivant ".
La dernière philosophie de Schelling est analysée dans le second tome. Elle est presque tout entière posthume, à l'exception de la Préface à Cousin (1834) et de quelques autres textes brefs. La dualité philosophique, enseignée à Berlin, est l'ultime avatar de ce qui était de façon latente une philosophie en deux. L'auteur s'attache ici à expliquer en détail les motifs et les problèmes de cette dichotomie tardive, mais fondée.
La dernière philosophie de Schelling est analysée dans le second tome. Elle est presque tout entière posthume, à l'exception de la Préface à Cousin (1834) et de quelques autres textes brefs. La dualité philosophique, enseignée à Berlin, est l'ultime avatar de ce qui était de façon latente une philosophie en deux. L'auteur s'attache ici à expliquer en détail les motifs et les problèmes de cette dichotomie tardive, mais fondée.
F. W. J. Schelling (1775-1854), le plus précoce de philosophes puis l'un des plus âgés, a pâti, de son vivant comme après sa mort, de la proximité de Fichte et surtout de Hegel qui l'a supplanté dans le jugement de la postérité. Mais il est en passe de combler son retard grâce en particulier à l'impulsion donnée depuis un demi-siècle aux recherches sur l'idéalisme allemand. Le premier volume de cet ouvrage se propose de présenter le devenir de Schelling sous le signe du " système vivant ".
La dernière philosophie de Schelling est analysée dans le second tome. Elle est presque tout entière posthume, à l'exception de la Préface à Cousin (1834) et de quelques autres textes brefs. La dualité philosophique, enseignée à Berlin, est l'ultime avatar de ce qui était de façon latente une philosophie en deux. L'auteur s'attache ici à expliquer en détail les motifs et les problèmes de cette dichotomie tardive, mais fondée.
La dernière philosophie de Schelling est analysée dans le second tome. Elle est presque tout entière posthume, à l'exception de la Préface à Cousin (1834) et de quelques autres textes brefs. La dualité philosophique, enseignée à Berlin, est l'ultime avatar de ce qui était de façon latente une philosophie en deux. L'auteur s'attache ici à expliquer en détail les motifs et les problèmes de cette dichotomie tardive, mais fondée.
