Savoir dire pour vouloir faire. La critique, une origine de la création
Par :Formats :
Disponible d'occasion :
- Paiement en ligne :
- Livraison à domicile ou en point Mondial Relay indisponible
- Retrait Click and Collect en magasin gratuit
- Réservation en ligne avec paiement en magasin :
- Indisponible pour réserver et payer en magasin
- Nombre de pages256
- PrésentationBroché
- Poids0.315 kg
- Dimensions12,1 cm × 17,0 cm × 1,7 cm
- ISBN978-2-87340-358-4
- EAN9782873403584
- Date de parution18/02/2015
- CollectionCôte Cinéma. Morceaux choisis
- ÉditeurYellow Now
- PréfacierDominique Païni
Résumé
Savoir dire pour vouloir faire tente de remettre sur le métier notre connaissance du cinéma classique et certaines de nos croyances en la possibilité politique du cinéma, quand il ne réinterroge pas les codes de la vraisemblance naturaliste. Pour cela sont évoqués nombre des «Grands Classiques», de Lang à Renoir, de Cukor à Bunuel, interrogés à l'aune de la psychanalyse, mais aussi d'un néo-brechtisme appliqué tout particulièrement au film d'Histoire.
Savoir dire pour vouloir faire vaut également pour le dialogue entre Pascal Kané et ses contemporains : Serge Daney et Louis Skorecki, interpellés dans leur activité critique et ses enjeux esthétiques et idéologiques, mais aussi plusieurs cinéastes des années 70, de l'héritage assumé (Comencini, Polanski, Truffaut) à ceux du renouveau (les Taviani, Jancsó, Téchiné...). Savoir dire pour vouloir faire, enfin, donne l'occasion de visiter rétrospectivement une époque plus théorisante et idéologisée que celle d'aujourd'hui, et fait en outre apparaître l'écriture critique comme un exercice profitable pour la mise en scène.
Pascal Kané dit ici sa conviction que cet exercice fut pleinement pour lui un acte de création. Le critique qu'il a été et le cinéaste qu'il est devenu n'en font pas douter.
Savoir dire pour vouloir faire vaut également pour le dialogue entre Pascal Kané et ses contemporains : Serge Daney et Louis Skorecki, interpellés dans leur activité critique et ses enjeux esthétiques et idéologiques, mais aussi plusieurs cinéastes des années 70, de l'héritage assumé (Comencini, Polanski, Truffaut) à ceux du renouveau (les Taviani, Jancsó, Téchiné...). Savoir dire pour vouloir faire, enfin, donne l'occasion de visiter rétrospectivement une époque plus théorisante et idéologisée que celle d'aujourd'hui, et fait en outre apparaître l'écriture critique comme un exercice profitable pour la mise en scène.
Pascal Kané dit ici sa conviction que cet exercice fut pleinement pour lui un acte de création. Le critique qu'il a été et le cinéaste qu'il est devenu n'en font pas douter.
Savoir dire pour vouloir faire tente de remettre sur le métier notre connaissance du cinéma classique et certaines de nos croyances en la possibilité politique du cinéma, quand il ne réinterroge pas les codes de la vraisemblance naturaliste. Pour cela sont évoqués nombre des «Grands Classiques», de Lang à Renoir, de Cukor à Bunuel, interrogés à l'aune de la psychanalyse, mais aussi d'un néo-brechtisme appliqué tout particulièrement au film d'Histoire.
Savoir dire pour vouloir faire vaut également pour le dialogue entre Pascal Kané et ses contemporains : Serge Daney et Louis Skorecki, interpellés dans leur activité critique et ses enjeux esthétiques et idéologiques, mais aussi plusieurs cinéastes des années 70, de l'héritage assumé (Comencini, Polanski, Truffaut) à ceux du renouveau (les Taviani, Jancsó, Téchiné...). Savoir dire pour vouloir faire, enfin, donne l'occasion de visiter rétrospectivement une époque plus théorisante et idéologisée que celle d'aujourd'hui, et fait en outre apparaître l'écriture critique comme un exercice profitable pour la mise en scène.
Pascal Kané dit ici sa conviction que cet exercice fut pleinement pour lui un acte de création. Le critique qu'il a été et le cinéaste qu'il est devenu n'en font pas douter.
Savoir dire pour vouloir faire vaut également pour le dialogue entre Pascal Kané et ses contemporains : Serge Daney et Louis Skorecki, interpellés dans leur activité critique et ses enjeux esthétiques et idéologiques, mais aussi plusieurs cinéastes des années 70, de l'héritage assumé (Comencini, Polanski, Truffaut) à ceux du renouveau (les Taviani, Jancsó, Téchiné...). Savoir dire pour vouloir faire, enfin, donne l'occasion de visiter rétrospectivement une époque plus théorisante et idéologisée que celle d'aujourd'hui, et fait en outre apparaître l'écriture critique comme un exercice profitable pour la mise en scène.
Pascal Kané dit ici sa conviction que cet exercice fut pleinement pour lui un acte de création. Le critique qu'il a été et le cinéaste qu'il est devenu n'en font pas douter.