Sarajevo, l'architecte et les barbares
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- Nombre de pages211
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.288 kg
- Dimensions13,1 cm × 20,5 cm × 2,0 cm
- ISBN2-910342-02-6
- EAN9782910342029
- Date de parution01/09/1994
- ÉditeurEditions du Linteau
- PréfacierFrançois Chaslin
- TraducteurMauricette Begitch
Résumé
Né de père slovène et de mère bosniaque, l'auteur a fait ses études d'architecture à Sarajevo, ville qu'il a faite sienne. Atteignant l'âge de la retraite, il décide de tenir un Journal pour faire le point. La guerre le rattrape, et ce Journal devient un journal de guerre. Terré dans la cave de son immeuble, l'auteur assiste — sur l'écran de sa télévision — à la destruction des bâtiments qu'il a passé sa vie à construire.
Par le biais de sa souffrance, le lecteur comprend mieux le fossé qui s'est ouvert entre une culture rurale, archaïque, isolée, et une culture moderne, européenne, urbaine, ainsi que l'exploitation qu'en ont faite des mégalomanes dévoyés vers un rêve de Grande nations. Cette guerre n'est pas "ethnique", mais culturelle. Comme telle, elle nous menace.
Par le biais de sa souffrance, le lecteur comprend mieux le fossé qui s'est ouvert entre une culture rurale, archaïque, isolée, et une culture moderne, européenne, urbaine, ainsi que l'exploitation qu'en ont faite des mégalomanes dévoyés vers un rêve de Grande nations. Cette guerre n'est pas "ethnique", mais culturelle. Comme telle, elle nous menace.
Né de père slovène et de mère bosniaque, l'auteur a fait ses études d'architecture à Sarajevo, ville qu'il a faite sienne. Atteignant l'âge de la retraite, il décide de tenir un Journal pour faire le point. La guerre le rattrape, et ce Journal devient un journal de guerre. Terré dans la cave de son immeuble, l'auteur assiste — sur l'écran de sa télévision — à la destruction des bâtiments qu'il a passé sa vie à construire.
Par le biais de sa souffrance, le lecteur comprend mieux le fossé qui s'est ouvert entre une culture rurale, archaïque, isolée, et une culture moderne, européenne, urbaine, ainsi que l'exploitation qu'en ont faite des mégalomanes dévoyés vers un rêve de Grande nations. Cette guerre n'est pas "ethnique", mais culturelle. Comme telle, elle nous menace.
Par le biais de sa souffrance, le lecteur comprend mieux le fossé qui s'est ouvert entre une culture rurale, archaïque, isolée, et une culture moderne, européenne, urbaine, ainsi que l'exploitation qu'en ont faite des mégalomanes dévoyés vers un rêve de Grande nations. Cette guerre n'est pas "ethnique", mais culturelle. Comme telle, elle nous menace.


