Santé pour tous et problématique des brevets sur les médicaments

Par : Sabine Ndzengue Amoa

Formats :

  • Paiement en ligne :
    • Livraison à domicile ou en point Mondial Relay indisponible
    • Retrait Click and Collect en magasin gratuit
  • Réservation en ligne avec paiement en magasin :
    • Indisponible pour réserver et payer en magasin
  • Nombre de pages82
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.118 kg
  • Dimensions13,5 cm × 21,5 cm × 0,5 cm
  • ISBN978-2-14-027622-4
  • EAN9782140276224
  • Date de parution31/08/2022
  • CollectionQuestions contemporaines
  • ÉditeurL'Harmattan

Résumé

Cet ouvrage met en relief le rôle primordial du brevet dans l'industrie pharmaceutique. La santé pour tous est difficilement compatible avec l'impératif de rentabilité du brevet. Les victoires des " droits des malades " sur le " droit des brevets " en Afrique du Sud via les antirétroviraux et en Inde au travers du médicament anticancéreux Glivec sont hélas infimes. L'obtention du brevet pour un médicament est une procédure longue et coûteuse pour les laboratoires.
Son obtention rime en général avec une obligation de rentabilité. L'expiration du brevet sur le médicament engendre de la part des firmes pharmaceutiques des stratégies qui ne sont pas au service de la santé. Le législateur encadre les stratégies courtoises telle la capitalisation sur la marque, les extensions de gamme, le transfert du médicament vers le marché OTC. Les stratégies anticoncurrentielles font l'objet de sanctions plus lourdes.
Cet ouvrage met en relief le rôle primordial du brevet dans l'industrie pharmaceutique. La santé pour tous est difficilement compatible avec l'impératif de rentabilité du brevet. Les victoires des " droits des malades " sur le " droit des brevets " en Afrique du Sud via les antirétroviraux et en Inde au travers du médicament anticancéreux Glivec sont hélas infimes. L'obtention du brevet pour un médicament est une procédure longue et coûteuse pour les laboratoires.
Son obtention rime en général avec une obligation de rentabilité. L'expiration du brevet sur le médicament engendre de la part des firmes pharmaceutiques des stratégies qui ne sont pas au service de la santé. Le législateur encadre les stratégies courtoises telle la capitalisation sur la marque, les extensions de gamme, le transfert du médicament vers le marché OTC. Les stratégies anticoncurrentielles font l'objet de sanctions plus lourdes.