Santé, genre et sexualités : les masculinités au regard du (post - )colonial
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- Nombre de pages136
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.2 kg
- Dimensions14,0 cm × 22,5 cm × 1,0 cm
- ISBN978-2-8257-1115-6
- EAN9782825711156
- Date de parution23/10/2021
- CollectionMaison de l'Histoire
- ÉditeurGeorg (Editeur)
Résumé
Cet ouvrage collectif réunit pour la première fois des recherches portant sur l'histoire de la santé, du genre et des sexualités à partir d'une perspective intersectionnelle. Les textes de chercheur-e-s jeunes et seniors que nous présentons croisent en effet les catégories de sexe, race, classe et sexualités à l'aune des masculinités en contexte (post)-colonial. En insistant d'avantage sur les masculinités, l'intention est de décrypter le coeur de la domination coloniale : le pouvoir des hommes et interroger ainsi la construction des hiérarchies des corps et des identités.
Grâce à l'analyse de l'intersection des rapports sociaux se dévoile l'imbrication entre pouvoirs, savoirs et pratiques de santé. La colonisation, pensée comme un miroir de la virilité, devient un lieu non seulement de production de catégories épistémologiques hégémoniques pour penser – et soigner – les corps mais implicitement aussi un lieu de production des nouvelles nosologies médicales : la colonisation intervient en somme aussi dans la production du savoir et de la clinique de la médecine occidentale, qu'il nous faut repenser à partir des intersections des rapports de pouvoir y compris de la blanchité masculine.
Grâce à l'analyse de l'intersection des rapports sociaux se dévoile l'imbrication entre pouvoirs, savoirs et pratiques de santé. La colonisation, pensée comme un miroir de la virilité, devient un lieu non seulement de production de catégories épistémologiques hégémoniques pour penser – et soigner – les corps mais implicitement aussi un lieu de production des nouvelles nosologies médicales : la colonisation intervient en somme aussi dans la production du savoir et de la clinique de la médecine occidentale, qu'il nous faut repenser à partir des intersections des rapports de pouvoir y compris de la blanchité masculine.
Cet ouvrage collectif réunit pour la première fois des recherches portant sur l'histoire de la santé, du genre et des sexualités à partir d'une perspective intersectionnelle. Les textes de chercheur-e-s jeunes et seniors que nous présentons croisent en effet les catégories de sexe, race, classe et sexualités à l'aune des masculinités en contexte (post)-colonial. En insistant d'avantage sur les masculinités, l'intention est de décrypter le coeur de la domination coloniale : le pouvoir des hommes et interroger ainsi la construction des hiérarchies des corps et des identités.
Grâce à l'analyse de l'intersection des rapports sociaux se dévoile l'imbrication entre pouvoirs, savoirs et pratiques de santé. La colonisation, pensée comme un miroir de la virilité, devient un lieu non seulement de production de catégories épistémologiques hégémoniques pour penser – et soigner – les corps mais implicitement aussi un lieu de production des nouvelles nosologies médicales : la colonisation intervient en somme aussi dans la production du savoir et de la clinique de la médecine occidentale, qu'il nous faut repenser à partir des intersections des rapports de pouvoir y compris de la blanchité masculine.
Grâce à l'analyse de l'intersection des rapports sociaux se dévoile l'imbrication entre pouvoirs, savoirs et pratiques de santé. La colonisation, pensée comme un miroir de la virilité, devient un lieu non seulement de production de catégories épistémologiques hégémoniques pour penser – et soigner – les corps mais implicitement aussi un lieu de production des nouvelles nosologies médicales : la colonisation intervient en somme aussi dans la production du savoir et de la clinique de la médecine occidentale, qu'il nous faut repenser à partir des intersections des rapports de pouvoir y compris de la blanchité masculine.