Santa Marta Poetica ou "Dire le politique autrement". Explorations ethnographiques en Caraïbe colombienne
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- Nombre de pages108
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.15 kg
- Dimensions13,7 cm × 21,0 cm × 0,9 cm
- ISBN978-2-343-10983-1
- EAN9782343109831
- Date de parution01/12/2016
- CollectionL'Autre Amérique
- ÉditeurL'Harmattan
- PréfacierSophie Caratini
Résumé
Santa Marta poetica. C'est un peu comme un nom d'espèce botanique ou zoologique. Un nom dont la sonorité résonne dans les ruelles de cette ville fondée au XVIe siècle par les Conquistadores du Nouveau Monde. Santa Marta poetica. Espèce rare, au demeurant. Cité souventes fois assiégée, rasée, et toujours re-née de ses cendres. Phénix indomptable, par le temps ou la violence. Santa Marta poetica. Méditation poétique à laquelle invite l'expérience de ce morceau de Caraïbe colombienne.
Une méditation qui éclaire, fait entendre, donne à sentir ce réalisme magique propre à la "Costa", celle que dépeint Gabriel Garcia Márquez dans chacun de ses romans. Il n'est pas admis, en anthropologie "classique", que la description poétique participe de l'exercice scientifique. Or, ici, il s'agit bien de "dire le politique autrement". N'est-il pas temps, en effet, d'abolir ces barrières, ces frontières arbitraires, toutes ces catégories qui ont, en définitive, pour objectif commun de faire oeuvre sur l'humain ? Ecrire en langage poétique permet de transmettre et partager ce que la prose peine à décrire.
D'aller au-delà, pour évoquer, suggérer, invoquer, conjurer. La poésie n'a pas de maître mot, elle n'impose pas ses interprétations. A chaque lectrice, lecteur, d'imaginer, traduire, reconstruire la Santa Marta, lointaine ou intime, coutumière ou distante qu'elle ou il choisira.
Une méditation qui éclaire, fait entendre, donne à sentir ce réalisme magique propre à la "Costa", celle que dépeint Gabriel Garcia Márquez dans chacun de ses romans. Il n'est pas admis, en anthropologie "classique", que la description poétique participe de l'exercice scientifique. Or, ici, il s'agit bien de "dire le politique autrement". N'est-il pas temps, en effet, d'abolir ces barrières, ces frontières arbitraires, toutes ces catégories qui ont, en définitive, pour objectif commun de faire oeuvre sur l'humain ? Ecrire en langage poétique permet de transmettre et partager ce que la prose peine à décrire.
D'aller au-delà, pour évoquer, suggérer, invoquer, conjurer. La poésie n'a pas de maître mot, elle n'impose pas ses interprétations. A chaque lectrice, lecteur, d'imaginer, traduire, reconstruire la Santa Marta, lointaine ou intime, coutumière ou distante qu'elle ou il choisira.
Santa Marta poetica. C'est un peu comme un nom d'espèce botanique ou zoologique. Un nom dont la sonorité résonne dans les ruelles de cette ville fondée au XVIe siècle par les Conquistadores du Nouveau Monde. Santa Marta poetica. Espèce rare, au demeurant. Cité souventes fois assiégée, rasée, et toujours re-née de ses cendres. Phénix indomptable, par le temps ou la violence. Santa Marta poetica. Méditation poétique à laquelle invite l'expérience de ce morceau de Caraïbe colombienne.
Une méditation qui éclaire, fait entendre, donne à sentir ce réalisme magique propre à la "Costa", celle que dépeint Gabriel Garcia Márquez dans chacun de ses romans. Il n'est pas admis, en anthropologie "classique", que la description poétique participe de l'exercice scientifique. Or, ici, il s'agit bien de "dire le politique autrement". N'est-il pas temps, en effet, d'abolir ces barrières, ces frontières arbitraires, toutes ces catégories qui ont, en définitive, pour objectif commun de faire oeuvre sur l'humain ? Ecrire en langage poétique permet de transmettre et partager ce que la prose peine à décrire.
D'aller au-delà, pour évoquer, suggérer, invoquer, conjurer. La poésie n'a pas de maître mot, elle n'impose pas ses interprétations. A chaque lectrice, lecteur, d'imaginer, traduire, reconstruire la Santa Marta, lointaine ou intime, coutumière ou distante qu'elle ou il choisira.
Une méditation qui éclaire, fait entendre, donne à sentir ce réalisme magique propre à la "Costa", celle que dépeint Gabriel Garcia Márquez dans chacun de ses romans. Il n'est pas admis, en anthropologie "classique", que la description poétique participe de l'exercice scientifique. Or, ici, il s'agit bien de "dire le politique autrement". N'est-il pas temps, en effet, d'abolir ces barrières, ces frontières arbitraires, toutes ces catégories qui ont, en définitive, pour objectif commun de faire oeuvre sur l'humain ? Ecrire en langage poétique permet de transmettre et partager ce que la prose peine à décrire.
D'aller au-delà, pour évoquer, suggérer, invoquer, conjurer. La poésie n'a pas de maître mot, elle n'impose pas ses interprétations. A chaque lectrice, lecteur, d'imaginer, traduire, reconstruire la Santa Marta, lointaine ou intime, coutumière ou distante qu'elle ou il choisira.