Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Cet essai traite du phénomène nomade. Le nomadisme est considéré dans son sens historique, traditionnel comme parfois, au sens symbolique. A des approches...
Lire la suite
Livré chez vous entre le 27 septembre et le 1 octobre
En librairie
Résumé
Cet essai traite du phénomène nomade. Le nomadisme est considéré dans son sens historique, traditionnel comme parfois, au sens symbolique. A des approches prenant appui sur un vaste corpus d'auteurs, succède une enquête de terrain effectuée sur les Hauts plateaux algériens. L'auteur s'est efforcé de rendre son texte le plus " lisible " possible pour un public élargi.
Au delà des clichés, la condition de la plupart des nomades était pénible à maints égards. Mais, la passion de la liberté les habitait. N'étaient-ils pas en avance sur des sociétés sédentaires désormais saisies d'une frénésie de déplacement ? N'avaient-ils pas déjà compris que dans la capacité de se déplacer réside aussi un pouvoir ? Ici ou là, la fin du nomadisme traditionnel laisse place à de nouvelles formes de mobilité. Les nomades historiques, traditionnels qui n'avaient rien de virtuel achèvent de disparaître. Bientôt, ne serons-nous pas confrontés à leur silence ?
Des chercheurs et des auteurs tels que Jean Duvignaud, André Miquel, Jean Ziegler... ont dit tout l'intérêt qu'ils trouvaient à ce texte. Selon Jean Duvignaud : " On a peu insisté sur le caractère du nomadisme ou de ses équivalents, sur ce mouvement quasi brownien qui affecte les groupes (...) une culture spécifique se définit dont les formes survivent dans les esprits et les figures que prend d'imaginaire (...) Wadi Bouzar prend dans son sens littéral cette réalité mouvante (...) les figurations symboliques, les modes de vie suggèrent un " modèle " d'existence commune et individuelle avec tout ce que ce mot comporte de dimensions diverses, souvent étouffées, détournées, méconnues ou refoulées (...) Wadi Bouzar mérite pleinement les éloges que lui ont déjà accordé plusieurs sociologues (...) Il fait partie de ces chercheurs qui s'attachent davantage à la part immergée de l'iceberg social qu'aux discours idéologiques, toujours déracinés... "