Saint-Vivant de Vergy. Un prieuré clunisien au coeur de la Bourgogne

Par : Alain Rauwel
  • Paiement en ligne :
    • Livraison à domicile ou en point Mondial Relay indisponible
    • Retrait Click and Collect en magasin gratuit
  • Réservation en ligne avec paiement en magasin :
    • Indisponible pour réserver et payer en magasin
  • Nombre de pages203
  • PrésentationRelié
  • FormatGrand Format
  • Poids1.125 kg
  • Dimensions20,0 cm × 25,5 cm × 2,2 cm
  • ISBN978-2-84080-196-2
  • EAN9782840801962
  • Date de parution01/12/2010
  • ÉditeurGaud (éditions)
  • PréfacierAubert de Villaine

Résumé

Il est en Bourgogne peu de sites plus impressionnants que l'éperon de Vergy qui domine, entre forets et vignobles, toutes les Hautes-Côtes. Sa position forte et solitaire était bien faite pour attirer tant les chevaliers que les moines. Ces derniers sont venus de loin, dès avant l'an mil, porteurs des reliques d'un saint vendéen bien vite naturalisé. Leur abbaye fut prospère, autonome d'abord puis intégrée, mais en place d'honneur, au grand réseau clunisien.
Elle fut un pôle de vie spirituelle, de culture, de développement économique. Ne doit-on pas aux moines de Vergy quelques-uns des clos les plus prestigieux de la Côte bourguignonne ? La Romanée Saint-Vivant a porté au-delà des océans la réputation du monastère nuiton. Le visiteur d'aujourd'hui ne découvre plus sur le site que des ruines, mais des ruines grandioses : celles du véritable palais monastique qu'avaient rêvé, à la fin du XVIIIe siècle, les derniers religieux.
Et l'histoire ne s'arrête pas à la Révolution : la succession des propriétaires modernes est encore tout un roman, jusqu'à la véritable renaissance que connaît désormais un monument appelé à figurer parmi les plus évocateurs de sa région.
Il est en Bourgogne peu de sites plus impressionnants que l'éperon de Vergy qui domine, entre forets et vignobles, toutes les Hautes-Côtes. Sa position forte et solitaire était bien faite pour attirer tant les chevaliers que les moines. Ces derniers sont venus de loin, dès avant l'an mil, porteurs des reliques d'un saint vendéen bien vite naturalisé. Leur abbaye fut prospère, autonome d'abord puis intégrée, mais en place d'honneur, au grand réseau clunisien.
Elle fut un pôle de vie spirituelle, de culture, de développement économique. Ne doit-on pas aux moines de Vergy quelques-uns des clos les plus prestigieux de la Côte bourguignonne ? La Romanée Saint-Vivant a porté au-delà des océans la réputation du monastère nuiton. Le visiteur d'aujourd'hui ne découvre plus sur le site que des ruines, mais des ruines grandioses : celles du véritable palais monastique qu'avaient rêvé, à la fin du XVIIIe siècle, les derniers religieux.
Et l'histoire ne s'arrête pas à la Révolution : la succession des propriétaires modernes est encore tout un roman, jusqu'à la véritable renaissance que connaît désormais un monument appelé à figurer parmi les plus évocateurs de sa région.