Saint-quentin sous le joug allemand
Par :Formats :
- Paiement en ligne :
- Livraison à domicile ou en point Mondial Relay indisponible
- Retrait Click and Collect en magasin gratuit
- Nombre de pages302
- PrésentationBroché
- Poids0.502 kg
- ISBN978-2-35618-106-0
- EAN9782356181060
- Date de parution01/06/2016
- CollectionExceptionelles
- ÉditeurAMPELOS
Résumé
Louise Trocmé est la fille de Paul Trocmé, important industriel protestant de Saint Quentin. En 1914, elle est veuve et s'occupe de ses enfants ainsi que de ceux de son père, veuf lui aussi. Quand les Allemands envahissent le nord de la France en 1914, elle commence un journal. En effet le Nord de la France et la Picardie furent occupés par les allemands très rapidement après le début de la première guerre mondiale.
Durant toute la guerre, les populations durent vivre sous le joug allemand et payèrent un lourd tribut, personnel et financier, à l'occupation. L'infrastructure industrielle, particulièrement importante dans cette région, fut durement touchée par les réquisitions, les vols et les destructions. Louise Trocmé, très au fait de la marche de la fabrique assiste au pillage systématique et le relate au jour le jour.
Un document majeur pour comprendre l'impact moral, culturel et économique de l'occupation présenté et annoté par Hélène Trocmé, historienne et nièce de Louise Dumas, qui a enseigné l'histoire des Etats-Unis à l'université Marc Bloch de Strasbourg puis au centre d'Histoire Nord-Américaine de l'Université de Paris I Panthéon6Sorbonne.
Durant toute la guerre, les populations durent vivre sous le joug allemand et payèrent un lourd tribut, personnel et financier, à l'occupation. L'infrastructure industrielle, particulièrement importante dans cette région, fut durement touchée par les réquisitions, les vols et les destructions. Louise Trocmé, très au fait de la marche de la fabrique assiste au pillage systématique et le relate au jour le jour.
Un document majeur pour comprendre l'impact moral, culturel et économique de l'occupation présenté et annoté par Hélène Trocmé, historienne et nièce de Louise Dumas, qui a enseigné l'histoire des Etats-Unis à l'université Marc Bloch de Strasbourg puis au centre d'Histoire Nord-Américaine de l'Université de Paris I Panthéon6Sorbonne.
Louise Trocmé est la fille de Paul Trocmé, important industriel protestant de Saint Quentin. En 1914, elle est veuve et s'occupe de ses enfants ainsi que de ceux de son père, veuf lui aussi. Quand les Allemands envahissent le nord de la France en 1914, elle commence un journal. En effet le Nord de la France et la Picardie furent occupés par les allemands très rapidement après le début de la première guerre mondiale.
Durant toute la guerre, les populations durent vivre sous le joug allemand et payèrent un lourd tribut, personnel et financier, à l'occupation. L'infrastructure industrielle, particulièrement importante dans cette région, fut durement touchée par les réquisitions, les vols et les destructions. Louise Trocmé, très au fait de la marche de la fabrique assiste au pillage systématique et le relate au jour le jour.
Un document majeur pour comprendre l'impact moral, culturel et économique de l'occupation présenté et annoté par Hélène Trocmé, historienne et nièce de Louise Dumas, qui a enseigné l'histoire des Etats-Unis à l'université Marc Bloch de Strasbourg puis au centre d'Histoire Nord-Américaine de l'Université de Paris I Panthéon6Sorbonne.
Durant toute la guerre, les populations durent vivre sous le joug allemand et payèrent un lourd tribut, personnel et financier, à l'occupation. L'infrastructure industrielle, particulièrement importante dans cette région, fut durement touchée par les réquisitions, les vols et les destructions. Louise Trocmé, très au fait de la marche de la fabrique assiste au pillage systématique et le relate au jour le jour.
Un document majeur pour comprendre l'impact moral, culturel et économique de l'occupation présenté et annoté par Hélène Trocmé, historienne et nièce de Louise Dumas, qui a enseigné l'histoire des Etats-Unis à l'université Marc Bloch de Strasbourg puis au centre d'Histoire Nord-Américaine de l'Université de Paris I Panthéon6Sorbonne.