Rwanda, 1994. La couleur d'un génocide

Par : Diogène Bideri
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  • Nombre de pages220
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.28 kg
  • Dimensions13,5 cm × 21,5 cm × 1,2 cm
  • ISBN978-2-343-17063-3
  • EAN9782343170633
  • Date de parution30/04/2019
  • CollectionEcrire l'Afrique
  • ÉditeurL'Harmattan
  • PréfacierAlain David

Résumé

Les maisons et les rues survivent aux guerres et aux génocides. Les endroits et les édifices deviennent, avec le temps, des monuments et des témoignages pour l'histoire. Les personnes, elles, sont massacrées. Elles disparaissent. On les oublie. Mais quelle couleur à le génocide ? Dans la culture rwandaise "couleur" se traduit par ibara. Ce dernier mot signifie aussi "calamité", "malheur extrême". Le génocide est sans "couleur", il est ibara : une tragédie diaphane que l'homme inflige à l'homme.
Dans cet ouvrage, Diogène Bideri retrace le récit familial à travers les témoignages des membres de sa famille qui ont survécu au génocide perpétré contre les Tutsi en 1994 au Rwanda. La somme des tragédies individuelles, celle de l'auteur, celles des autres victimes, est la couleur du génocide : une visite à l'intérieur du crime des crimes.
Les maisons et les rues survivent aux guerres et aux génocides. Les endroits et les édifices deviennent, avec le temps, des monuments et des témoignages pour l'histoire. Les personnes, elles, sont massacrées. Elles disparaissent. On les oublie. Mais quelle couleur à le génocide ? Dans la culture rwandaise "couleur" se traduit par ibara. Ce dernier mot signifie aussi "calamité", "malheur extrême". Le génocide est sans "couleur", il est ibara : une tragédie diaphane que l'homme inflige à l'homme.
Dans cet ouvrage, Diogène Bideri retrace le récit familial à travers les témoignages des membres de sa famille qui ont survécu au génocide perpétré contre les Tutsi en 1994 au Rwanda. La somme des tragédies individuelles, celle de l'auteur, celles des autres victimes, est la couleur du génocide : une visite à l'intérieur du crime des crimes.