En cours de chargement...
A maints égards, la société française connaît une situation analogue à l'époque prérévolutionnaire. Ses blocages, ses corporatismes, les victoires répétées des intérêts particuliers sur l'intérêt général y ont fissuré le pacte social. Tous les pans de notre société sont touchés par cette crise, à commencer par nos entreprises : réduction de la place de l'homme au travail à un stérile débat réglementaire, enlisement de l'entreprise dans d'interminables conflits internes, alors que l'absence de croissance économique nécessiterait une mobilisation de tous au service d'un projet commun.
L'implosion n'a pourtant rien d'une fatalité ! Et si, au lieu de s'opposer les uns aux autres, nous relisions le Contrat social de Rousseau ? Et si nous allions y puiser l'esprit des refondateurs ? Et si nous y trouvions les conditions de recréation du consensus dans l'entreprise ? A l'heure où celle-ci tend à prendre le relais d'un Etat-providence essoufflé, il paraît urgent de refonder son modèle social en réaffirmant ce qui en fait toute la force : sa nature de contrat.
Urgent de reformer en chacun de ses membres ce sentiment d'obligation sans lequel le lien social se défait. Urgent d'aider l'individu à réconcilier en lui le citoyen, le client, l'homme et le salarié.
Quelle honte !
Monsieur Frédéric Vincent a conduit NEXANS à sa perte et s'en est mis plein les poches ! Plus d'un million d'euros de salaire en 2014 alors que les plans sociaux s'enchainent et que des familles se retrouvent sur le carreaux ! il ose prôner l'intérêt général alors que ses saloperies de bonus octroyés aux cadres ont conduit à l'individualisme.
Comment peut il encore se regarder dans une glace et surtout écrire et vendre un livre ?
N'achetez pas cette merde !
N'achetez pas non plus celui de son successeur Arnaud Poupart Lafarge (APL pour les intimes... Aide Pour Licenciements) au cas où ça lui prendrait l'envie d'écrire des conneries aussi pendant ses multiples voyages autour du monde...