Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Peindre le Christ mort, que l'on dépose de la Croix, que les anges veillent, que la Vierge pleure, Rosso n'a cessé de le faire d'un bout à l'autre...
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Livré chez vous entre le 26 septembre et le 1 octobre
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Résumé
Peindre le Christ mort, que l'on dépose de la Croix, que les anges veillent, que la Vierge pleure, Rosso n'a cessé de le faire d'un bout à l'autre de sa carrière, de Florence, où il naquit en 1494, à Paris, où il mourut en 1540, en passant par Rome, Volterra et San Sepolcro. Il le fit toujours avec autant de culture que d'originalité, de foi que d'indifférence aux conventions. Le Christ mort du Louvre, qui est ici analysé, seul tableau religieux préservé de la décennie que Rosso passa en France, de 1530 à 1540, a été peint pour le connétable Anne de Montmorency. C'est là tout ce que l'on sait du tableau. L'étude menée dans ce livre soulève bien des questions était-il destiné à la chapelle du château d'Écouen où il se trouvait dès la fin du XVIe siècle ? Comment s'inscrit-il dans la suite des réflexions de Rosso sur ce thème ? Quel effet produisit-il sur l'art français du XVIe siècle ? Conçu dans le cadre de la saison sur l'Italie à la cour de France, ce dossier apporte un contrepoint florentin à l'art de Primatice.