Rome, ville ouverte au cinéma. Entre vision mythologique et géographie sociale

Par : Julien Neutres

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  • Nombre de pages248
  • PrésentationBroché
  • Poids0.346 kg
  • Dimensions14,5 cm × 22,1 cm × 2,1 cm
  • ISBN978-2-8159-0097-3
  • EAN9782815900973
  • Date de parution05/11/2010
  • CollectionMonde en cours
  • ÉditeurAube (Editions de l')

Résumé

La place de Rome dans l'histoire du cinéma est considérable. Une Rome blessée dans Rome, ville ouverte (Rossellini, 1945) et dans la trilogie de De Sica et Zavattini (Sciuscià en 1946, Le Voleur de bicyclette en 1948, Umberto D. en 1952); puis le boom avec La Dolce Vita (Fellini, 1960) et les antihéros de Pasolini (Accattone en 1961, et Mamma Roma en 1962); pour atteindre la Rome chaotique de Fellini Roma (1972).
Huit films, cinq cinéastes: autant de parcours dans la ville et son imaginaire. Toutes les images aussi mènent à Rome... Immortalisée par le cinéma, la Ville éternelle en devient une des capitales avec Cinecittà. A Rome et ses couches archéologiques correspondent ainsi des films et les couches iconographiques laissées par la sédimentation de la création. Les images de Rome au cinéma suggèrent des formes distinctes de la réalité déjà protéiforme de la ville et ont, en retour, transformé les structures urbaines et les coutumes.
Cet essai est une invitation à penser la vie de la ville entre mémoire et images. Une réflexion en mouvement sur le rôle du cinéma dans nos manières modernes de "faire cité ensemble".
La place de Rome dans l'histoire du cinéma est considérable. Une Rome blessée dans Rome, ville ouverte (Rossellini, 1945) et dans la trilogie de De Sica et Zavattini (Sciuscià en 1946, Le Voleur de bicyclette en 1948, Umberto D. en 1952); puis le boom avec La Dolce Vita (Fellini, 1960) et les antihéros de Pasolini (Accattone en 1961, et Mamma Roma en 1962); pour atteindre la Rome chaotique de Fellini Roma (1972).
Huit films, cinq cinéastes: autant de parcours dans la ville et son imaginaire. Toutes les images aussi mènent à Rome... Immortalisée par le cinéma, la Ville éternelle en devient une des capitales avec Cinecittà. A Rome et ses couches archéologiques correspondent ainsi des films et les couches iconographiques laissées par la sédimentation de la création. Les images de Rome au cinéma suggèrent des formes distinctes de la réalité déjà protéiforme de la ville et ont, en retour, transformé les structures urbaines et les coutumes.
Cet essai est une invitation à penser la vie de la ville entre mémoire et images. Une réflexion en mouvement sur le rôle du cinéma dans nos manières modernes de "faire cité ensemble".