Un récit tour à tour s'esquisse et s'efface, dans la centaine de poèmes brefs - on pourrait assez exactement les qualifier de sonnets en prose - qui composent Roi des cent cavaliers. De royaume, ou de quel règne s'agit-il au juste ? L'auteur le tait. Et ses chevaux semblent s'enfuir au bout des plaines, ou s'envoler comme autant d'oiseaux : certains sont japonais, nous est-il précisé avant que le livre ne se replie sur son secret. Il en reste ces empreintes : dénégation de l'assassin ou journal de guerre, même si parfois un témoin disparaît...
C'est un théâtre, onirique ou mental, où se succèdent des scènes étrangement concrètes, énigmatiques et sereines.
Récit de rêve inventant le réel.
Un récit tour à tour s'esquisse et s'efface, dans la centaine de poèmes brefs - on pourrait assez exactement les qualifier de sonnets en prose - qui composent Roi des cent cavaliers. De royaume, ou de quel règne s'agit-il au juste ? L'auteur le tait. Et ses chevaux semblent s'enfuir au bout des plaines, ou s'envoler comme autant d'oiseaux : certains sont japonais, nous est-il précisé avant que le livre ne se replie sur son secret. Il en reste ces empreintes : dénégation de l'assassin ou journal de guerre, même si parfois un témoin disparaît...
C'est un théâtre, onirique ou mental, où se succèdent des scènes étrangement concrètes, énigmatiques et sereines.
Récit de rêve inventant le réel.