Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
En 1971, à Nancy, Le Regard du sourd fait date. Depuis, Robert Wilson a continué de faire oeuvre d'artiste avec une maîtrise presque insolente de ses...
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Résumé
En 1971, à Nancy, Le Regard du sourd fait date. Depuis, Robert Wilson a continué de faire oeuvre d'artiste avec une maîtrise presque insolente de ses talents plastiques. A la scène, son univers représente l'une des dernières mythologies stylistiques du siècle. Le temps s'y donne comme un événement à contempler pour lui-même, l'image comme une évidence lumineuse à compléter par chacun dans le crépuscule de l'imaginaire. Puissance visuelle, patience textuelle. Le feutre des gestes et le blanchissement des voix, les formes, les lignes, les éclairages et les bruits du paysage, la présence têtue des objets et le vacillement des humains clans un horizon d'irréalité convergent en faisceau vers une vision d'épure "Beauté" est le terme de l'univers wilsonien - son nom de baptême et sa fin recherchée ; et par le biais de cette beauté triomphant de sa propre interprétation, le plaisir naît de l'émotion esthétique. Au coeur de l'abstraction de l'art, à l'abri de la fureur du monde.