Riccarda Montenero, libre circulation

Par : Paola Gribaudo

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  • Nombre de pages96
  • PrésentationBroché
  • Poids0.585 kg
  • Dimensions25,3 cm × 18,3 cm × 1,9 cm
  • ISBN978-88-366-2071-5
  • EAN9788836620715
  • Date de parution02/07/2011
  • ÉditeurSilvana Editoriale

Résumé

Libre circulation, l'oeuvre la plus récente de Riccarda Montenero, propose un thème particulièrement cher à l'artiste, le corps humain, considéré en tant que sujet et objet de l'Histoire, dans une réflexion sur la violence qui nous montre l'homme à la fois bourreau et victime, dans la tentative d'exorciser la douleur mais sans renoncer à une sévère condamnation. Tout au long de cette intense séquence en noir et blanc, on assiste en effet à une alternance d'images renvoyant à des sujets politiques et sociaux très actuels - la prison, l'émigration et le refoulement du migrant - et d'images évoquant un sujet tout aussi politique, à savoir le thème des violences contre la femme, mise en cage, déniée, violée, tuée.
Sous le signe renversé de cette "libre circulation" du mal, homme et la femme apparaissent comme les pions d'un échiquier d'un jeu cruel, et néanmoins sensible à la beauté à travers une partition élégante d'ombres et de lumières, la composition en diptyque recherchée et la posture même des modèles, théâtrale et scénographique, qui renvoie, plus qu'à la vie, à une sorte de représentation.
Libre circulation, l'oeuvre la plus récente de Riccarda Montenero, propose un thème particulièrement cher à l'artiste, le corps humain, considéré en tant que sujet et objet de l'Histoire, dans une réflexion sur la violence qui nous montre l'homme à la fois bourreau et victime, dans la tentative d'exorciser la douleur mais sans renoncer à une sévère condamnation. Tout au long de cette intense séquence en noir et blanc, on assiste en effet à une alternance d'images renvoyant à des sujets politiques et sociaux très actuels - la prison, l'émigration et le refoulement du migrant - et d'images évoquant un sujet tout aussi politique, à savoir le thème des violences contre la femme, mise en cage, déniée, violée, tuée.
Sous le signe renversé de cette "libre circulation" du mal, homme et la femme apparaissent comme les pions d'un échiquier d'un jeu cruel, et néanmoins sensible à la beauté à travers une partition élégante d'ombres et de lumières, la composition en diptyque recherchée et la posture même des modèles, théâtrale et scénographique, qui renvoie, plus qu'à la vie, à une sorte de représentation.